Cinq ministres ou leurs représentants ont réceptionné, jeudi 18 février 2021, le Référentiel des emplois et des compétences (REC) de leurs départements respectifs, lors d’une cérémonie à la Primature, présidée par le ministre de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly, qui représentait le Premier ministre, Hamed Bakayoko.
Il s’agit des ministères de la Fonction publique, du Plan et du Développement, des Mines et de la Géologie, de l’Industrie et du Commerce et de la Modernisation de l’Administration et de l’Innovation du service public. Avec eux, le nombre des départements ministériels dotés de REC passe à six après celui du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle en novembre 2016.
Selon le Ministre de la Fonction publique, Gal Issa Coulibaly, le REC est centré sur la description des emplois en termes de compétitivité et de compétences à mobiliser, "un outil essentiel et même fondamental pour une gestion moderne et optimale" des ressources humaines en ce qui concerne le recrutement, la gestion des carrières, la formation et l’évaluation.
"Son utilisation au sein de notre administration publique permettra d’aboutir à une gestion plus efficace et efficiente des ressources humaines qui seront alors plus outillées pour faire face aux défis et enjeux de la modernisation", a-t-il rassuré, invitant les gestionnaires des ressources humaines à une appropriation effective des REC dans les différents ministères et autres structures de service public.
Le directeur général de la Fonction publique, Soro Gninagafolo, a révélé qu’en termes de perspectives, il est prévu qu’en synergie avec le ministère en charge de la modernisation de l’Administration publique, ce nouvel outil serve au profilage des fonctionnaires et la codification des postes dans l’administration publique au regard de ses nombreuses opportunités.
Au nom du chef du gouvernement, le Ministre Coulibaly Adama a rappelé que le chef de l’Etat place les ressources humaines comme un facteur clé de la poursuite du développement de la Côte d’Ivoire. Et cela commande une réorientation stratégique de son mode et de sa fonctionnalité.
« L’élaboration des REC est donc un outil important dans la gouvernance administrative car ils permettront d’optimiser la productivité et l’efficacité des ressources humaines dans le secteur public et parapublic », a-t-il déclaré, ajoutant que la généralisation annoncée servira à consolider les résultats des réformes engagées pour moderniser l’appareil administratif.
Cette remise des nouveaux REC marque le démarrage de la phase 3 dite de « généralisation » des REC à l’ensemble de 25 autres ministères restants pour un coût de plus d’un milliard de francs CFA. Grâce aux soutiens des partenaires et bailleurs de fonds, le financement pour les ministères de l’Economie et des Finances ainsi que du Budget et du portefeuille de l’Etat est déjà disponible.
L'information a été donnée par le secrétaire d’Etat au Renforcement des capacités, Epiphane Zoro-Bi Ballo, qui a aussi plaidé pour la disponibilité des moyens en temps opportuns afin de ne pas retarder le cours normal du processus.
Le REC vise à répertorier tous les emplois de l'administration publique, ajuster les compétences des agents aux besoins de la stratégie de développement du gouvernement, faciliter l'identification des compétences nécessaires au bon exercice des fonctions confiées aux agents, mettre en place une politique moderne de management des hommes et améliorer la productivité des personnels administratifs par la valorisation des potentiels, a-t-on appris.
Il s’agit des ministères de la Fonction publique, du Plan et du Développement, des Mines et de la Géologie, de l’Industrie et du Commerce et de la Modernisation de l’Administration et de l’Innovation du service public. Avec eux, le nombre des départements ministériels dotés de REC passe à six après celui du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle en novembre 2016.
Selon le Ministre de la Fonction publique, Gal Issa Coulibaly, le REC est centré sur la description des emplois en termes de compétitivité et de compétences à mobiliser, "un outil essentiel et même fondamental pour une gestion moderne et optimale" des ressources humaines en ce qui concerne le recrutement, la gestion des carrières, la formation et l’évaluation.
"Son utilisation au sein de notre administration publique permettra d’aboutir à une gestion plus efficace et efficiente des ressources humaines qui seront alors plus outillées pour faire face aux défis et enjeux de la modernisation", a-t-il rassuré, invitant les gestionnaires des ressources humaines à une appropriation effective des REC dans les différents ministères et autres structures de service public.
Le directeur général de la Fonction publique, Soro Gninagafolo, a révélé qu’en termes de perspectives, il est prévu qu’en synergie avec le ministère en charge de la modernisation de l’Administration publique, ce nouvel outil serve au profilage des fonctionnaires et la codification des postes dans l’administration publique au regard de ses nombreuses opportunités.
Au nom du chef du gouvernement, le Ministre Coulibaly Adama a rappelé que le chef de l’Etat place les ressources humaines comme un facteur clé de la poursuite du développement de la Côte d’Ivoire. Et cela commande une réorientation stratégique de son mode et de sa fonctionnalité.
« L’élaboration des REC est donc un outil important dans la gouvernance administrative car ils permettront d’optimiser la productivité et l’efficacité des ressources humaines dans le secteur public et parapublic », a-t-il déclaré, ajoutant que la généralisation annoncée servira à consolider les résultats des réformes engagées pour moderniser l’appareil administratif.
Cette remise des nouveaux REC marque le démarrage de la phase 3 dite de « généralisation » des REC à l’ensemble de 25 autres ministères restants pour un coût de plus d’un milliard de francs CFA. Grâce aux soutiens des partenaires et bailleurs de fonds, le financement pour les ministères de l’Economie et des Finances ainsi que du Budget et du portefeuille de l’Etat est déjà disponible.
L'information a été donnée par le secrétaire d’Etat au Renforcement des capacités, Epiphane Zoro-Bi Ballo, qui a aussi plaidé pour la disponibilité des moyens en temps opportuns afin de ne pas retarder le cours normal du processus.
Le REC vise à répertorier tous les emplois de l'administration publique, ajuster les compétences des agents aux besoins de la stratégie de développement du gouvernement, faciliter l'identification des compétences nécessaires au bon exercice des fonctions confiées aux agents, mettre en place une politique moderne de management des hommes et améliorer la productivité des personnels administratifs par la valorisation des potentiels, a-t-on appris.