Cinq départements ministériels du gouvernement ivoirien ont reçu jeudi à Abidjan un « Référentiel des emplois et des compétences (REC) », un outil qui permettra une gestion moderne et efficace des ressources humaines de l’Etat de Côte d’Ivoire.
Il s’agit des ministères de la fonction publique, du plan et du développement, de la modernisation de l’administration et de l’innovation du service public, des mines et de l’énergie, et celui du Commerce et de l’industrie.
Selon Adama Coulibaly, le ministre ivoirien de l’Economie et des finances qui représentait à cette rencontre le chef du gouvernement ivoirien, le Référentiel des emplois et des compétences ( REC) qui est un outil stratégique de gestion des ressources humaines de l’Etat, permettra d’optimiser la productivité et l’efficacité des ressources humaines dans le secteur public et parapublic.
Cet instrument, a-t-il ajouté, contribuera à consolider les résultats des réformes engagées pour moderniser l’appareil administratif de notre pays.
« La généralisation annoncée du déploiement du projet d’élaboration des référentiels des emplois et des compétences à tous les départements ministériels devrait offrir à l’ensemble de l’administration publique ivoirienne l’opportunité de perspectives encore plus heureuses », a estimé le représentant du premier ministre Hamed Bakayoko.
Quant au général Issa Coulibaly, le ministre ivoirien de la Fonction publique, il a expliqué à son tour, que le REC est un outil d’aide qui permet d’orienter les différentes prises de décisions.
« Il a également pour objectif d’apporter une dynamique nouvelle dans la gestion prévisionnelle des effectifs et dans l’élaboration de politiques de valorisation des ressources humaines de l’Etat en les rendant plus cohérentes et plus rationnelles», a-t-il souligné.
De son avis, le REC présente de «réels opportunités » pour l’ensemble des parties prenantes. Ainsi, a fait savoir, le général Coulibaly, pour l’agent de l’Etat, le REC favorise une meilleure connaissance de son emploi et une meilleure appréciation de ses besoins de formation pour construire son parcours professionnel et mieux gérer sa carrière.
Pour le supérieur hiérarchique, a dit le ministre, le REC constitue un outil pertinent qui lui permet de mettre en place et élaborer des fiches de poste en vue d’une gestion efficace des ressources humaines sous sa responsabilité, d’instituer des entretiens annuels pour l’évaluation des performances de ses collaborateurs.
Le responsable des ressources humaines quant à lui, trouve dans le REC, un bréviaire pour déterminer les emplois nécessaires à la mise en œuvre des missions de l’Etat. Pour l’Etat, a conclu M. Coulibaly, en termes de qualité et de transparence de sa fonction publique, le REC permet une gestion plus efficace des finances publiques.
Le gouvernement ivoirien a initié plusieurs réformes dans le cadre de son Plan national de développement ( PND). Ainsi, l’un des objectifs majeurs du REC est de permettre à l’administration ivoirienne de disposer d’outils de référence qui contribueraient à une meilleure lisibilité des emplois de l’Etat et des compétences qui leur sont associées.
Il s’agit des ministères de la fonction publique, du plan et du développement, de la modernisation de l’administration et de l’innovation du service public, des mines et de l’énergie, et celui du Commerce et de l’industrie.
Selon Adama Coulibaly, le ministre ivoirien de l’Economie et des finances qui représentait à cette rencontre le chef du gouvernement ivoirien, le Référentiel des emplois et des compétences ( REC) qui est un outil stratégique de gestion des ressources humaines de l’Etat, permettra d’optimiser la productivité et l’efficacité des ressources humaines dans le secteur public et parapublic.
Cet instrument, a-t-il ajouté, contribuera à consolider les résultats des réformes engagées pour moderniser l’appareil administratif de notre pays.
« La généralisation annoncée du déploiement du projet d’élaboration des référentiels des emplois et des compétences à tous les départements ministériels devrait offrir à l’ensemble de l’administration publique ivoirienne l’opportunité de perspectives encore plus heureuses », a estimé le représentant du premier ministre Hamed Bakayoko.
Quant au général Issa Coulibaly, le ministre ivoirien de la Fonction publique, il a expliqué à son tour, que le REC est un outil d’aide qui permet d’orienter les différentes prises de décisions.
« Il a également pour objectif d’apporter une dynamique nouvelle dans la gestion prévisionnelle des effectifs et dans l’élaboration de politiques de valorisation des ressources humaines de l’Etat en les rendant plus cohérentes et plus rationnelles», a-t-il souligné.
De son avis, le REC présente de «réels opportunités » pour l’ensemble des parties prenantes. Ainsi, a fait savoir, le général Coulibaly, pour l’agent de l’Etat, le REC favorise une meilleure connaissance de son emploi et une meilleure appréciation de ses besoins de formation pour construire son parcours professionnel et mieux gérer sa carrière.
Pour le supérieur hiérarchique, a dit le ministre, le REC constitue un outil pertinent qui lui permet de mettre en place et élaborer des fiches de poste en vue d’une gestion efficace des ressources humaines sous sa responsabilité, d’instituer des entretiens annuels pour l’évaluation des performances de ses collaborateurs.
Le responsable des ressources humaines quant à lui, trouve dans le REC, un bréviaire pour déterminer les emplois nécessaires à la mise en œuvre des missions de l’Etat. Pour l’Etat, a conclu M. Coulibaly, en termes de qualité et de transparence de sa fonction publique, le REC permet une gestion plus efficace des finances publiques.
Le gouvernement ivoirien a initié plusieurs réformes dans le cadre de son Plan national de développement ( PND). Ainsi, l’un des objectifs majeurs du REC est de permettre à l’administration ivoirienne de disposer d’outils de référence qui contribueraient à une meilleure lisibilité des emplois de l’Etat et des compétences qui leur sont associées.