Sakassou - La Secrétaire d'Etat auprès du Garde des sceaux, chargée des Droits de l'homme, Aimée Zébéyoux, a rencontré vendredi 19 février 2021 au centre culturel de Sakassou, les populations sur les droits de l'homme et les élections législatives apaisées.
S'étant réjouie d'être à Sakassou pour la toute première fois, Mme Zébéyoux a entretenu les populations venues en grand nombre sur la notion de droits de l'homme.
"Parler de droits de l'homme, c'est plus social que politique. C'est mettre en place des structures de développement dont les populations ont besoin", a indiqué la Secrétaire d'Etat, ajoutant que choisir par vote les autorités pour la mise en route de ces structures fait aussi partie des droits de l'homme.
"Sakassou ne doit pas être à feu et à sang chaque fois qu'il y aura des élections. Comprenons qu'après le 30 octobre 2020, nous avons continué de vivre ensemble et nous sommes condamnés à vivre ensemble. Alors, après avoir barré les routes, pillé et brûlé, blessé nos parents, pour un simple jeu démocratique, qui est venu vers nous pour nous consoler ?", s’est-elle interrogée. Aimée Zébéyoux a invité les populations de Sakassou à éviter de se laisser manipuler et diviser par la politique politicienne.
"Pour les législatives 2021, je ne veux pas entendre qu'à Sakassou, les populations se sont bagarrées", a terminé la Secrétaire d'Etat en charge des droits de l'homme.
(AIP)
TNI/kp
S'étant réjouie d'être à Sakassou pour la toute première fois, Mme Zébéyoux a entretenu les populations venues en grand nombre sur la notion de droits de l'homme.
"Parler de droits de l'homme, c'est plus social que politique. C'est mettre en place des structures de développement dont les populations ont besoin", a indiqué la Secrétaire d'Etat, ajoutant que choisir par vote les autorités pour la mise en route de ces structures fait aussi partie des droits de l'homme.
"Sakassou ne doit pas être à feu et à sang chaque fois qu'il y aura des élections. Comprenons qu'après le 30 octobre 2020, nous avons continué de vivre ensemble et nous sommes condamnés à vivre ensemble. Alors, après avoir barré les routes, pillé et brûlé, blessé nos parents, pour un simple jeu démocratique, qui est venu vers nous pour nous consoler ?", s’est-elle interrogée. Aimée Zébéyoux a invité les populations de Sakassou à éviter de se laisser manipuler et diviser par la politique politicienne.
"Pour les législatives 2021, je ne veux pas entendre qu'à Sakassou, les populations se sont bagarrées", a terminé la Secrétaire d'Etat en charge des droits de l'homme.
(AIP)
TNI/kp