Abidjan- Le président du Conseil supérieur de la Magistrature du Burkina Faso (CSM), Mazobé Jean Kondé, a indiqué jeudi 25 février 2021 devant le chef de l'Etat, Marc Christian Kaboré, que l’institution judiciaire souhaite travailler dans la sérénité afin de répondre aux attentes de leurs compatriotes.
« Les animateurs de l’institution judiciaire dans leur grande majorité aspirent à la sérénité, à une paix des braves », a indiqué M. Mazobé à l’ouverture de la rencontre statuaire entre le président du Burkina Faso et les membres du CSM.
D'après l'Agence d'informations du Burkina (AIB), le président du CSM a expliqué cette aspiration par le fait que l’année judiciaire passée (2020) a été tumultueuse et a vu s’installer la méfiance, la défiance, la belligérance entre les syndicats des magistrats et le ministère de la Justice.
« A l’heure actuelle, l’institution judiciaire ne souhaite avoir pour rôle que celui de rendre la justice au nom du peuple burkinabè et répondre ainsi aux attentes qui peuvent être les siennes », a précisé le président du CSM.
La rencontre entre le président du Burkina Faso et les membres du Conseil supérieur de la magistrature est prévue une fois l’an conformément à l’article 131 révisé de la Constitution.
La précédente rencontre s’est tenue le 14 novembre 2019 et la présente devait se tenir en novembre 2020, mais a été différée à cause des élections couplées présidentielle et législatives.
sdaf/cmas
« Les animateurs de l’institution judiciaire dans leur grande majorité aspirent à la sérénité, à une paix des braves », a indiqué M. Mazobé à l’ouverture de la rencontre statuaire entre le président du Burkina Faso et les membres du CSM.
D'après l'Agence d'informations du Burkina (AIB), le président du CSM a expliqué cette aspiration par le fait que l’année judiciaire passée (2020) a été tumultueuse et a vu s’installer la méfiance, la défiance, la belligérance entre les syndicats des magistrats et le ministère de la Justice.
« A l’heure actuelle, l’institution judiciaire ne souhaite avoir pour rôle que celui de rendre la justice au nom du peuple burkinabè et répondre ainsi aux attentes qui peuvent être les siennes », a précisé le président du CSM.
La rencontre entre le président du Burkina Faso et les membres du Conseil supérieur de la magistrature est prévue une fois l’an conformément à l’article 131 révisé de la Constitution.
La précédente rencontre s’est tenue le 14 novembre 2019 et la présente devait se tenir en novembre 2020, mais a été différée à cause des élections couplées présidentielle et législatives.
sdaf/cmas