Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) a remis, vendredi 26 février 2021 au ministère des Eaux et Forêts, 12 drones pour la surveillance et la sauvegarde du patrimoine forestier ivoirien.
Remettant le matériel au ministre Alain Richard Donwahi au jardin botanique de Bingerville, la représentante résidente du PNUD, Mme Carol Flore-Smereczniak, a précisé que ces drones de type D-J-I Mavic Pro 2, l’un des meilleurs de sa génération sont capables de voler en continu pendant plus de 30 mn, à une altitude de près de 3 000 mètres et parcourir jusqu’à 8 km.
Ce modèle doté d’une intelligence artificielle qui lui permet de suivre un objectif, de faire un parcours prédéfini et de revenir à son point de départ en réalisant des détections d’obstacles à 360 degrés peut passer facilement en mode pilotage automatique et faire des vidéos et des photos de haute résolution.
A ces drones, sont couplés 12 smartphones qui permettent de capter les photos et vidéos enregistrées à distance et de savoir en temps réel ce qui se passe dans les zones à suspicion d’exploitation illégale, a ajouté la représentante résidente du PNUD.
Aussi, a-t-elle promis qu’un programme de mise à niveau sera initié dans les jours à venir en vue de permettre aux agents de s’approprier lesdits équipements. « Notre ambition est d’accompagner le gouvernement dans la reconquête de son couvert forestier dans un contexte de transformation numérique et de lutte contre le changement climatique », a réitéré Mme Carol Flore-Smereczniak.
Le ministre des Eaux et Forêts a souligné que les 12 drones viennent activer les composantes surveillances et cartographie, deux pôles essentiels pour le cadastre forestier, la lutte contre la criminalité forestière, faunique et la pollution des ressources en eau.
Face à des attaques dont il a été l’objet sur ce projet, Alain Richard Donwahi a rassuré que ces drones sont un don du PNUD, donc ‘’il ne peut ni facturer, ni surfacturer ces équipements’’.
Tout en plaidant auprès de l’institution onusienne pour la formation des pilotes et la maintenance desdits drones, M. Donwahi a promis de faire bon usage des outils qui ont été mis à la disposition de la brigade spéciale de surveillance et d’intervention, une unité officielle du ministère des Eaux et Forêts.
Le Gouvernement a adopté en 2018 la politique de préservation, de réhabilitation et d’extension des forêts avec pour objectif de restaurer d’ici à 2030, 20% du couvert forestier national.
(AIP)
bsp/cmas
Remettant le matériel au ministre Alain Richard Donwahi au jardin botanique de Bingerville, la représentante résidente du PNUD, Mme Carol Flore-Smereczniak, a précisé que ces drones de type D-J-I Mavic Pro 2, l’un des meilleurs de sa génération sont capables de voler en continu pendant plus de 30 mn, à une altitude de près de 3 000 mètres et parcourir jusqu’à 8 km.
Ce modèle doté d’une intelligence artificielle qui lui permet de suivre un objectif, de faire un parcours prédéfini et de revenir à son point de départ en réalisant des détections d’obstacles à 360 degrés peut passer facilement en mode pilotage automatique et faire des vidéos et des photos de haute résolution.
A ces drones, sont couplés 12 smartphones qui permettent de capter les photos et vidéos enregistrées à distance et de savoir en temps réel ce qui se passe dans les zones à suspicion d’exploitation illégale, a ajouté la représentante résidente du PNUD.
Aussi, a-t-elle promis qu’un programme de mise à niveau sera initié dans les jours à venir en vue de permettre aux agents de s’approprier lesdits équipements. « Notre ambition est d’accompagner le gouvernement dans la reconquête de son couvert forestier dans un contexte de transformation numérique et de lutte contre le changement climatique », a réitéré Mme Carol Flore-Smereczniak.
Le ministre des Eaux et Forêts a souligné que les 12 drones viennent activer les composantes surveillances et cartographie, deux pôles essentiels pour le cadastre forestier, la lutte contre la criminalité forestière, faunique et la pollution des ressources en eau.
Face à des attaques dont il a été l’objet sur ce projet, Alain Richard Donwahi a rassuré que ces drones sont un don du PNUD, donc ‘’il ne peut ni facturer, ni surfacturer ces équipements’’.
Tout en plaidant auprès de l’institution onusienne pour la formation des pilotes et la maintenance desdits drones, M. Donwahi a promis de faire bon usage des outils qui ont été mis à la disposition de la brigade spéciale de surveillance et d’intervention, une unité officielle du ministère des Eaux et Forêts.
Le Gouvernement a adopté en 2018 la politique de préservation, de réhabilitation et d’extension des forêts avec pour objectif de restaurer d’ici à 2030, 20% du couvert forestier national.
(AIP)
bsp/cmas