Le professeur Ochou Delfin, le coordonnateur du Programme de gestion du littoral ouest africain ( WACA) en Côte d’Ivoire a plaidé mardi à Abidjan pour l’institution d’une police environnementale dans le pays.
M. Ochou s’exprimait dans une conférence-débat dénommée « Café de l’actualité » organisée par la Maison de la presse d’Abidjan (MPA). « (...) Il faut une justice environnementale en Côte d’Ivoire. Il faut une police environnementale en Côte d’Ivoire. L’environnement aussi doit avoir son tribunal», a dit M. Ochou estimant « que couper un arbre est un crime environnemental ».
Par ailleurs, M. Ochou a indiqué qu’au regard des résultats à mi-parcours, « on peut dire que le projet WACA se positionne Comme une initiative concrète de gestion côtière en vue du renforcement de la résilience de la population et de l’environnement côtier tant au niveau régional, national que local. Pour ce faire, une attention particulière doit être accordée au littoral ivoirien de la part de l’Etat de Côte d’Ivoire ».
Auparavant, le conférencier a passé en revue plusieurs sujets liés à la protection du littoral ivoirien. Il s’agit entre autres, du plan d’aménagement et de gestion intégrée du littoral pour une meilleure planification des activités et une bonne utilisation des terres dans la zone côtière et le renforcement du cadre législatif et réglementaire pour une bonne gouvernance de la zone côtière.
Le programme de gestion du littoral ouest-africain (WACA) a été mis sur pieds par la Banque mondiale dans six pays dont la Côte d’Ivoire pour sa première phase.
Ce programme a pour objectif de renforcer la résilience des communautés face à l’érosion côtière et à aider ces pays à mieux gérer les risques naturels et les risques causés par l’activité humaine qui touchent les populations côtières.
LB/ls/APA
M. Ochou s’exprimait dans une conférence-débat dénommée « Café de l’actualité » organisée par la Maison de la presse d’Abidjan (MPA). « (...) Il faut une justice environnementale en Côte d’Ivoire. Il faut une police environnementale en Côte d’Ivoire. L’environnement aussi doit avoir son tribunal», a dit M. Ochou estimant « que couper un arbre est un crime environnemental ».
Par ailleurs, M. Ochou a indiqué qu’au regard des résultats à mi-parcours, « on peut dire que le projet WACA se positionne Comme une initiative concrète de gestion côtière en vue du renforcement de la résilience de la population et de l’environnement côtier tant au niveau régional, national que local. Pour ce faire, une attention particulière doit être accordée au littoral ivoirien de la part de l’Etat de Côte d’Ivoire ».
Auparavant, le conférencier a passé en revue plusieurs sujets liés à la protection du littoral ivoirien. Il s’agit entre autres, du plan d’aménagement et de gestion intégrée du littoral pour une meilleure planification des activités et une bonne utilisation des terres dans la zone côtière et le renforcement du cadre législatif et réglementaire pour une bonne gouvernance de la zone côtière.
Le programme de gestion du littoral ouest-africain (WACA) a été mis sur pieds par la Banque mondiale dans six pays dont la Côte d’Ivoire pour sa première phase.
Ce programme a pour objectif de renforcer la résilience des communautés face à l’érosion côtière et à aider ces pays à mieux gérer les risques naturels et les risques causés par l’activité humaine qui touchent les populations côtières.
LB/ls/APA