Reprise aujourd’hui du procès du bombardement de Bouaké. Le 6 novembre 2004, 10 personnes avaient été tuées dans l’attaque du camp militaire français de la force Licorne par deux avions Soukhoï pilotés par des mercenaires russes et leurs co-pilotes ivoiriens. La cour a commencé à se pencher sur une des zones d’ombres de ce dossier : l’interpellation de suspects au Togo, qui seront finalement relâchés, car la France, alertée, ne donne pas suite. Jusqu’à qui est remontée cette information dans les hautes sphères françaises ? c’est la première question qu’a essayé de démêler la cour.
Claude Taxis, à l’époque attaché de sécurité intérieure à l’ambassade de Lomé et chef de la délégation du SCTIP, le service de coopération international de la... suite de l'article sur RFI
Claude Taxis, à l’époque attaché de sécurité intérieure à l’ambassade de Lomé et chef de la délégation du SCTIP, le service de coopération international de la... suite de l'article sur RFI