Abidjan- Le Président ghanéen Nana Addo Dankwa Akufo-Addo a appelé à un large consensus national qui favoriserait une petite industrie minière responsable, viable et écologiquement durable, rapporte l'Agence de presse ghanéenne (GNA).
Il a lancé cet appel lors de l'ouverture mercredi 15 avril 2021, du Dialogue consultatif national sur l'exploitation minière à petite échelle à Accra. Cette activité, qui s'est déroulée sur deux jours, vise à forger un large consensus et un plan viable pour promouvoir des pratiques minières durables, ainsi que d'endiguer la marée de l'exploitation minière illégale à petite échelle dans le pays.
Lors de cette cérémonie, il a indiqué la nécessité de s'attaquer et d'éradiquer la menace de l'exploitation minière illégale à petite échelle, en développant une exploitation minière à petite échelle responsable, sans l'utilisation de mercure pour protéger la forêt, l'environnement et les plans d'eau du Ghana, parce que, selon lui, même si l'exploitation minière crée des emplois, améliore les moyens de subsistance et génère de la richesse, elle ne devrait pas se faire au détriment de l'environnement qui produit les richesses.
«Nous devons reconnaître que le Ghana n'est pas uniquement composé des humains, mais aussi du sol, des montagnes et des vallées, des forêts, des rivières, des lacs, des mers et de la vie végétale et animale. Sans eux, nous, les humains, ne pouvons pas et ne survivrons pas; et donc ils ont également besoin d'être nourris. Nous devons reconnaître que l'environnement naturel a autant le droit d'être ici que nous, les humains", a-t-il indiqué.
Il a également déploré la politisation des questions épineuses de l'exploitation minière par certains acteurs politiques du Ghana sans tenir compte des effets dévastateurs sur l'environnement. Pour lui, ces questions sur l'exploitation minière devraient au-delà de la politique partisane.
"Nous devons démontrer que nous aimons notre terre et que nous sommes capables d'en prendre soin nous-mêmes. Certains sujets ne peuvent tout simplement pas faire partie de notre politique quotidienne », a-t-il souligné, réitérant sa détermination à faire appliquer les lois sur l'exploitation minière illégale, quel que soit le statut des personnes impliquées.
sdaf/fmo
Il a lancé cet appel lors de l'ouverture mercredi 15 avril 2021, du Dialogue consultatif national sur l'exploitation minière à petite échelle à Accra. Cette activité, qui s'est déroulée sur deux jours, vise à forger un large consensus et un plan viable pour promouvoir des pratiques minières durables, ainsi que d'endiguer la marée de l'exploitation minière illégale à petite échelle dans le pays.
Lors de cette cérémonie, il a indiqué la nécessité de s'attaquer et d'éradiquer la menace de l'exploitation minière illégale à petite échelle, en développant une exploitation minière à petite échelle responsable, sans l'utilisation de mercure pour protéger la forêt, l'environnement et les plans d'eau du Ghana, parce que, selon lui, même si l'exploitation minière crée des emplois, améliore les moyens de subsistance et génère de la richesse, elle ne devrait pas se faire au détriment de l'environnement qui produit les richesses.
«Nous devons reconnaître que le Ghana n'est pas uniquement composé des humains, mais aussi du sol, des montagnes et des vallées, des forêts, des rivières, des lacs, des mers et de la vie végétale et animale. Sans eux, nous, les humains, ne pouvons pas et ne survivrons pas; et donc ils ont également besoin d'être nourris. Nous devons reconnaître que l'environnement naturel a autant le droit d'être ici que nous, les humains", a-t-il indiqué.
Il a également déploré la politisation des questions épineuses de l'exploitation minière par certains acteurs politiques du Ghana sans tenir compte des effets dévastateurs sur l'environnement. Pour lui, ces questions sur l'exploitation minière devraient au-delà de la politique partisane.
"Nous devons démontrer que nous aimons notre terre et que nous sommes capables d'en prendre soin nous-mêmes. Certains sujets ne peuvent tout simplement pas faire partie de notre politique quotidienne », a-t-il souligné, réitérant sa détermination à faire appliquer les lois sur l'exploitation minière illégale, quel que soit le statut des personnes impliquées.
sdaf/fmo