En Côte d’Ivoire, au lendemain de l’attaque contre un camp militaire d’Abobo, dans le nord d’Abidjan, qui a fait quatre morts, l’enquête se poursuit. Si la piste jihadiste semble écartée, de nombreuses questions demeurent, notamment quant à l’objectif des assaillants et l’identité des commanditaires présumés.
Si le camp d’Anonkoua-Kouté abrite le 2e bataillon projetable ivoirien qui doit relever en septembre celui déployé au Mali dans le cadre de la Minusma, la piste jihadiste est écartée. Surtout du fait de l’identité des assaillants.
Certains portaient en effet des papiers libériens. L’un d’entre eux avait même sur lui une feuille intitulée « contrat », censée l’embaucher pour « combattre en Côte d’Ivoire » moyennant 5 000 dollars... suite de l'article sur RFI
Si le camp d’Anonkoua-Kouté abrite le 2e bataillon projetable ivoirien qui doit relever en septembre celui déployé au Mali dans le cadre de la Minusma, la piste jihadiste est écartée. Surtout du fait de l’identité des assaillants.
Certains portaient en effet des papiers libériens. L’un d’entre eux avait même sur lui une feuille intitulée « contrat », censée l’embaucher pour « combattre en Côte d’Ivoire » moyennant 5 000 dollars... suite de l'article sur RFI