Abidjan -Le Comité de suivi de la prise en compte du Genre dans les processus électoraux (CSGPE) est réuni depuis mercredi 28 avril 2021 à Grand-Bassam autour d’un atelier de capitalisation en vue d’accroitre l’impact de ses interventions sur la vie politique ivoirienne pour une meilleure représentativité des femmes dans les assemblées élues.
Composé des femmes leaders de la société civile et des partis politiques, le CSGPE entend assurer le monitoring des questions liées à une meilleure représentativité hommes-femmes dans la vie politique, et particulièrement électorale, en conformité avec les engagements internationaux et nationaux du pays en la matière.
Les travaux, qui prendront fin vendredi 30 avril 2021, permettront de faire l’état des lieux des interventions du CSGPE à mi-parcours du processus électoral en cours, de capitaliser les leçons apprises et dégager les pistes d’efficacité et de performance.
Dans son intervention, la représentante résidente, d’Onu-Femmes Côte d’Ivoire, Antonia Ngabala-Sodonon, a appelé à des solutions à impacts rapides pour une meilleure représentativité dans les assemblées élues.
«Il nous faut apporter des solutions à impacts rapides et surtout visibles. Je vous invite donc à faire de cet atelier une opportunité pour l’affinement de votre stratégie d’intervention », a engagé Mme Ngabala.
Elle a exhorté les participants à faire de cet atelier une opportunité pour l’affinement de leur stratégie d’intervention par la définition de nouvelles dynamiques et approche de maximisation.
Selon le comité de suivi pour la prise en compte du genre dans les processus électoraux, la législature 2021-2026 à l’Assemblée nationale est marquée par un ratio hommes-femmes très déséquilibré, car sur un total de 254 députés, 222 hommes ont été élus contre 32 femmes, soit un pourcentage de 12,59%.
La loi n°2019-870 du 14 octobre 2019 favorisant la représentation de la femme dans les assemblées élues adoptée en conséquence, ainsi que le décret n°2020-941 du 25 novembre 2020 qui en fixe les modalités d’application, ordonne aux partis politiques de présenter au moins 30% de candidates pour les assemblées élues.
Partout dans le monde, la participation des femmes aux processus démocratique et de paix constitue des enjeux et priorités de développement.
Ces instruments juridiques, s’ils sont appliqués, pourraient permettre de donner un coup d’accélérateur à la participation politique des femmes en Côte d’Ivoire.
bsp/fmo
Composé des femmes leaders de la société civile et des partis politiques, le CSGPE entend assurer le monitoring des questions liées à une meilleure représentativité hommes-femmes dans la vie politique, et particulièrement électorale, en conformité avec les engagements internationaux et nationaux du pays en la matière.
Les travaux, qui prendront fin vendredi 30 avril 2021, permettront de faire l’état des lieux des interventions du CSGPE à mi-parcours du processus électoral en cours, de capitaliser les leçons apprises et dégager les pistes d’efficacité et de performance.
Dans son intervention, la représentante résidente, d’Onu-Femmes Côte d’Ivoire, Antonia Ngabala-Sodonon, a appelé à des solutions à impacts rapides pour une meilleure représentativité dans les assemblées élues.
«Il nous faut apporter des solutions à impacts rapides et surtout visibles. Je vous invite donc à faire de cet atelier une opportunité pour l’affinement de votre stratégie d’intervention », a engagé Mme Ngabala.
Elle a exhorté les participants à faire de cet atelier une opportunité pour l’affinement de leur stratégie d’intervention par la définition de nouvelles dynamiques et approche de maximisation.
Selon le comité de suivi pour la prise en compte du genre dans les processus électoraux, la législature 2021-2026 à l’Assemblée nationale est marquée par un ratio hommes-femmes très déséquilibré, car sur un total de 254 députés, 222 hommes ont été élus contre 32 femmes, soit un pourcentage de 12,59%.
La loi n°2019-870 du 14 octobre 2019 favorisant la représentation de la femme dans les assemblées élues adoptée en conséquence, ainsi que le décret n°2020-941 du 25 novembre 2020 qui en fixe les modalités d’application, ordonne aux partis politiques de présenter au moins 30% de candidates pour les assemblées élues.
Partout dans le monde, la participation des femmes aux processus démocratique et de paix constitue des enjeux et priorités de développement.
Ces instruments juridiques, s’ils sont appliqués, pourraient permettre de donner un coup d’accélérateur à la participation politique des femmes en Côte d’Ivoire.
bsp/fmo