L’activiste Pulchérie Gbalet, présidente de l'Alternative citoyenne ivoirienne (Aci), a bénéficié d’une « liberté provisoire » le mercredi 28 avril 2021, après plusieurs mois de détention, rapporte VOA qui cite l’avocat de cette dernière, Lambert Kouamé Béné.
En effet, elle avait appelé à des manifestations contre « le troisième mandat » du Président Alassane Ouattara.
Visée par plusieurs accusations, à savoir « trouble à l’ordre public, appel à l’insurrection, incitation à la révolte, violences et voie de fait, destructions de biens publics et privés », Pulchérie Gbalet avait été déférée en août 2020 puis placée sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca).
Si son avocat s’est réjoui de sa libération, il explique qu’elle ne devait pas être emprisonnée. « Il lui est reproché d'avoir lancé un appel pour une marche pacifique, pourtant consacrée par la Constitution (...). Elle n'aurait pas dû aller en prison pour cela », mentionne Me Lambert Kouamé Béné, rapporté par VOA.
En effet, elle avait appelé à des manifestations contre « le troisième mandat » du Président Alassane Ouattara.
Visée par plusieurs accusations, à savoir « trouble à l’ordre public, appel à l’insurrection, incitation à la révolte, violences et voie de fait, destructions de biens publics et privés », Pulchérie Gbalet avait été déférée en août 2020 puis placée sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca).
Si son avocat s’est réjoui de sa libération, il explique qu’elle ne devait pas être emprisonnée. « Il lui est reproché d'avoir lancé un appel pour une marche pacifique, pourtant consacrée par la Constitution (...). Elle n'aurait pas dû aller en prison pour cela », mentionne Me Lambert Kouamé Béné, rapporté par VOA.