Abidjan- Un atelier d’actualisation du Plan stratégique de l’intégration (PSI 2018-2021) et de l’élaboration du plan stratégique du bureau national de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) s’est tenu jeudi 06 mai 2021 à Abidjan en vue d’adapter ce plan au contexte actuel.
Il s’est agi, au cours des travaux, d’échanger sur les ajustements nécessaires à faire dans le PSI 2018-2022 en prenant en compte les défis et enjeux nouveaux, de valider les principales étapes de l’actualisation du plan et les étapes d’élaboration du plan stratégique du bureau national CEDEAO.
Le ministre délégué en charge de l’Intégration africaine, Alcide Djédjé, a précisé qu’il est du devoir de son département de s’adapter à ce qui a été planifié.
«Nous devrons nous adapter aux objectifs fixés par les organisations sous- régionales. Il y a une adaptation nécessaire avec l’avènement et la résurgence de la COVID 19», a indiqué M. Djédjé.
Expliquant les enjeux de cette adaptation, le directeur général de l’intégration africaine, Wantabouna Ouattara, a souligné qu’il s’agit d’arrimer le PSI 2018-2022 aux objectifs du Plan national de développement (PND 2021-2025).
Et dans cette actualisation, il a été pris en compte les problématiques nouvelles notamment les questions de transhumance qui impliquent les communautés étrangères et locales, d’orpaillage, d’occupation illégale des forêts classées et de coopération en matière de recherche.
«C’est un outil qui permettra à la Côte d’Ivoire de consolider sa position au niveau régional et d’aller de l’avant », a-t-il expliqué.
Au nom des organisations sous-régionales, Ouraga Jérôme, a relevé que le plan stratégique permettra de prendre en compte les nouveaux enjeux et permettre d’accélérer la dynamique d’intégration pour une CEDEAO des peuples.
Le PSI se décline en trois principaux axes à savoir l’optimisation de la gouvernance nationale en matière d’intégration africaine, le renforcement du rôle de la Côte d’Ivoire en matière de politique d’intégration et la contribution de l’intégration africaine au développement économique, social et durable en Côte d’Ivoire.
bsp/fmo
Il s’est agi, au cours des travaux, d’échanger sur les ajustements nécessaires à faire dans le PSI 2018-2022 en prenant en compte les défis et enjeux nouveaux, de valider les principales étapes de l’actualisation du plan et les étapes d’élaboration du plan stratégique du bureau national CEDEAO.
Le ministre délégué en charge de l’Intégration africaine, Alcide Djédjé, a précisé qu’il est du devoir de son département de s’adapter à ce qui a été planifié.
«Nous devrons nous adapter aux objectifs fixés par les organisations sous- régionales. Il y a une adaptation nécessaire avec l’avènement et la résurgence de la COVID 19», a indiqué M. Djédjé.
Expliquant les enjeux de cette adaptation, le directeur général de l’intégration africaine, Wantabouna Ouattara, a souligné qu’il s’agit d’arrimer le PSI 2018-2022 aux objectifs du Plan national de développement (PND 2021-2025).
Et dans cette actualisation, il a été pris en compte les problématiques nouvelles notamment les questions de transhumance qui impliquent les communautés étrangères et locales, d’orpaillage, d’occupation illégale des forêts classées et de coopération en matière de recherche.
«C’est un outil qui permettra à la Côte d’Ivoire de consolider sa position au niveau régional et d’aller de l’avant », a-t-il expliqué.
Au nom des organisations sous-régionales, Ouraga Jérôme, a relevé que le plan stratégique permettra de prendre en compte les nouveaux enjeux et permettre d’accélérer la dynamique d’intégration pour une CEDEAO des peuples.
Le PSI se décline en trois principaux axes à savoir l’optimisation de la gouvernance nationale en matière d’intégration africaine, le renforcement du rôle de la Côte d’Ivoire en matière de politique d’intégration et la contribution de l’intégration africaine au développement économique, social et durable en Côte d’Ivoire.
bsp/fmo
