La direction exécutive du Rassemblement des Houphouetiste pour la Démocratie et la Paix (RHDP) s’est réunie le jeudi 27 mai 2021 au siège du parti au deux plateaux les vallons à Abidjan-Cocody afin de peaufiner les stratégies pour dynamiser les militants, booster le parti et réorganiser la base de leur formation politique dans la perspective des échéances et défis futurs.
Adama Bictogo, directeur exécutif du RHDP s’est d’entrée de jeu félicité de la victoire de son parti à la présidentielle et aux législatives précédentes.
En ce qui concerne l’organisation des élections partielles, c’est-à-dire la reprise des élections législatives dans (06) circonscriptions de la Côte d’Ivoire, le directeur exécutif a dit l’engagement du parti à accompagner ses candidats à l’effet de remporter la victoire. « Nous considérons que notre mission, bâtir et sévir la Côte d’Ivoire est une mission dynamique, qui repose sur l’engagement et la mobilisation de nos militants et de tous les sympathisants ivoiriens qui se reconnaissent dans le RHDP. Sur cette base, la direction exécutive loin de s’installer dans l’auto satisfaction, a décidé de se mettre en ordre de bataille , parce que pour nous tous les défis à relever dans les quatre ,cinq années à venir, commencent dès aujourd’hui » a fait savoir Adama Bictogo.
Le directeur exécutif du RHDP, a confié à cette rencontre, qu’un groupe de travail a été mis en place afin de proposer dès mercredi prochain un tableau d’une tournée nationale dans les bases. Il s’agira de planifier l’organisation des séminaires régionaux, à l’effet de tirer les leçons des élections passées, de faire l’analyse politique par région et ensuite de proposer une réorganisation, qui épouse les nouveaux contextes qui pourront se présenter à la direction exécutif du RHDP.
Les responsables du Rhdp ont dit ne pas être opposés au retour de Laurent Gbagbo. Par contre, ils souhaitent que sa venue se fasse tout de même dans la sobriété pour ne pas "offenser les victimes et salir la mémoire de celles qui sont décédées" à la faveur des crises ivoiriennes, notamment celles de 2011.
« Chacun de nous sait ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire en 2011. Je pense que nous devons humblement, hommes politiques que nous sommes, responsables de crimes ou pas, faire preuve de responsabilité…Je voudrais que le Fpi et tous ceux qui s’agitent comprennent que ce n’est pas le moment de vouloir organiser des cérémonies d’accueil », a-t-il confié.
Cyprien K.
Adama Bictogo, directeur exécutif du RHDP s’est d’entrée de jeu félicité de la victoire de son parti à la présidentielle et aux législatives précédentes.
En ce qui concerne l’organisation des élections partielles, c’est-à-dire la reprise des élections législatives dans (06) circonscriptions de la Côte d’Ivoire, le directeur exécutif a dit l’engagement du parti à accompagner ses candidats à l’effet de remporter la victoire. « Nous considérons que notre mission, bâtir et sévir la Côte d’Ivoire est une mission dynamique, qui repose sur l’engagement et la mobilisation de nos militants et de tous les sympathisants ivoiriens qui se reconnaissent dans le RHDP. Sur cette base, la direction exécutive loin de s’installer dans l’auto satisfaction, a décidé de se mettre en ordre de bataille , parce que pour nous tous les défis à relever dans les quatre ,cinq années à venir, commencent dès aujourd’hui » a fait savoir Adama Bictogo.
Le directeur exécutif du RHDP, a confié à cette rencontre, qu’un groupe de travail a été mis en place afin de proposer dès mercredi prochain un tableau d’une tournée nationale dans les bases. Il s’agira de planifier l’organisation des séminaires régionaux, à l’effet de tirer les leçons des élections passées, de faire l’analyse politique par région et ensuite de proposer une réorganisation, qui épouse les nouveaux contextes qui pourront se présenter à la direction exécutif du RHDP.
Les responsables du Rhdp ont dit ne pas être opposés au retour de Laurent Gbagbo. Par contre, ils souhaitent que sa venue se fasse tout de même dans la sobriété pour ne pas "offenser les victimes et salir la mémoire de celles qui sont décédées" à la faveur des crises ivoiriennes, notamment celles de 2011.
« Chacun de nous sait ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire en 2011. Je pense que nous devons humblement, hommes politiques que nous sommes, responsables de crimes ou pas, faire preuve de responsabilité…Je voudrais que le Fpi et tous ceux qui s’agitent comprennent que ce n’est pas le moment de vouloir organiser des cérémonies d’accueil », a-t-il confié.
Cyprien K.