Abidjan- Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, le général de Corps d’armées Vagondo Diomandé a indique que la gestion des frontières est un maillon essentiel du développement socio-économique, à la faveur de la 11ème Journée africaine des frontières, commémorée lundi 7 juin 2021, en Côte d'Ivoire.
Selon le Gal Diomandé, la célébration de cette journée, à l'instar des pays de l'Uinon africaine, contribue à faire des zones frontalières des espaces de paix, de sécurité et d’intégration pour un développement économique, social et culturel harmonieux.
La célébration de la 11ème Journée africaine des frontières qui se fera virtuellement autour du thème, « Arts, cultures et patrimoine : leviers pour construire l’Afrique que nous voulons », a également pour objectif d’éliminer les sources de tensions aux frontières des États, a-t-il indiqué dans une déclaration transmise ce lundi à l’AIP.
La célébration à l’échelle nationale de cette journée se tiendra du mercredi 09 juin au jeudi 10 juin 2021 dans la sous-préfecture de Kalamon, à 22 km de la ville de Doropo dans la région du Bounkani, autour du sous-thème, « les villages frontaliers ivoiriens face aux défis sanitaires, éducatifs et sécuritaires », sous la coupole de la Commission nationale des frontières de la Côte d’Ivoire (CNFCI).
Selon le premier vice-président de la CNFCI, Vagondo Diomandé, le choix de cette thématique et de la localité, « traduit la ferme volonté du Gouvernement d’inscrire la problématique de la gestion des frontières au cœur des axes essentiels du programme de développement socio-économique de la Côte d’Ivoire dans un contexte marqué par la pandémie à Covid 19 », d’une part. Et d’autre part, « l’apparition à nos frontières de groupes violents pouvant mettre à mal la situation sécuritaire aux plans local et national », en est un sujet de réflexion.
Plus concrètement, il s’agira les acteurs frontaliers et du grand public, de réaffirmer la présence de l’État auprès des populations frontalières et de faire la promotion de la coopération transfrontalière dans les espaces transfrontaliers afin d’y préserver et renforcer la coexistence pacifique entre les populations.
Le 7 juin 2007 à Addis Abeba en Ethiopie, les ministres africains en charge des questions de frontières ont adopté au cours d’une première conférence, le « Programme-Frontières » de l’Union Africaine (PFUA).
Dans le cadre de la mise en œuvre du programme, l’Union Africaine a institué depuis mars 2010 la Journée africaine des frontières, commémorée le 7 juin de chaque année. Cette décision a été entérinée par la 17ème session ordinaire du conseil exécutif tenue en juillet de la même année.
eaa/fmo
Selon le Gal Diomandé, la célébration de cette journée, à l'instar des pays de l'Uinon africaine, contribue à faire des zones frontalières des espaces de paix, de sécurité et d’intégration pour un développement économique, social et culturel harmonieux.
La célébration de la 11ème Journée africaine des frontières qui se fera virtuellement autour du thème, « Arts, cultures et patrimoine : leviers pour construire l’Afrique que nous voulons », a également pour objectif d’éliminer les sources de tensions aux frontières des États, a-t-il indiqué dans une déclaration transmise ce lundi à l’AIP.
La célébration à l’échelle nationale de cette journée se tiendra du mercredi 09 juin au jeudi 10 juin 2021 dans la sous-préfecture de Kalamon, à 22 km de la ville de Doropo dans la région du Bounkani, autour du sous-thème, « les villages frontaliers ivoiriens face aux défis sanitaires, éducatifs et sécuritaires », sous la coupole de la Commission nationale des frontières de la Côte d’Ivoire (CNFCI).
Selon le premier vice-président de la CNFCI, Vagondo Diomandé, le choix de cette thématique et de la localité, « traduit la ferme volonté du Gouvernement d’inscrire la problématique de la gestion des frontières au cœur des axes essentiels du programme de développement socio-économique de la Côte d’Ivoire dans un contexte marqué par la pandémie à Covid 19 », d’une part. Et d’autre part, « l’apparition à nos frontières de groupes violents pouvant mettre à mal la situation sécuritaire aux plans local et national », en est un sujet de réflexion.
Plus concrètement, il s’agira les acteurs frontaliers et du grand public, de réaffirmer la présence de l’État auprès des populations frontalières et de faire la promotion de la coopération transfrontalière dans les espaces transfrontaliers afin d’y préserver et renforcer la coexistence pacifique entre les populations.
Le 7 juin 2007 à Addis Abeba en Ethiopie, les ministres africains en charge des questions de frontières ont adopté au cours d’une première conférence, le « Programme-Frontières » de l’Union Africaine (PFUA).
Dans le cadre de la mise en œuvre du programme, l’Union Africaine a institué depuis mars 2010 la Journée africaine des frontières, commémorée le 7 juin de chaque année. Cette décision a été entérinée par la 17ème session ordinaire du conseil exécutif tenue en juillet de la même année.
eaa/fmo