L’institut de sécurité maritime inter-régionale de l’académie de la mer dans la commune de Yopougon a abrité le 7 juin 2021, la cérémonie d’ouverture du 5e séminaire de l’Institut de Sécurité Maritime Interrégional (ISMI), couplée par la même occasion de l’ouverture de l’école de recherche et sauvetage maritime (SAR).
Ces deux activités s’inscrivent au cœur de la mise en œuvre des résolutions du sommet de Yaoundé et de la convention de Hambourg sur la recherche et le sauvetage maritime et la protection de l’économie maritime et la protection de l’économie maritime des États membres.
« la mise en place de l’école SAR et la tenue de la 5e session de formation SAR niveau 2 est possible grâce aux actions conjointes de la France de ses partenaires à travers le programme régional d’appui à l’action de l’Etat en mer dans le golfe de Guinée, du ministère de l’Europe et des affaires étrangères français et la contribution spécifique de l’école nationale de sécurité et d’administration de la mer de France » a indiqué le colonel Karim Coulibaly, par ailleurs directeur général de l’ARSTM.
Il a en outre expliqué que la capacité de certains États à assurer une gestion efficace des accidents et des catastrophes en mer demeure inefficace. Dès lors, ces deux actions majeures notamment la tenue dudit séminaire de formation et l’ouverture de l’école SAR viennent comme une bouffée d’oxygène pour pallier ces insuffisances et accroître les compétences.
Cette formation s’adresse prioritairement à des opérateurs SAR affectés dans les MRCC à des navigants amenés à intervenir dans des opérations SAR.
Quelques pays de l’ouest et du centre de l’Afrique sont représentés notamment, le Bénin ; le Cameroun ; le Cap-Vert ; le Congo ; le Gabon ; la Gambie ; le Ghana ; la Guinée-Bissau, le Liberia ; la Guinée-Conakry ; le Sénégal ; la sierra-Leone ; le Togo et la Côte d’Ivoire.
Cyprien K.
Ces deux activités s’inscrivent au cœur de la mise en œuvre des résolutions du sommet de Yaoundé et de la convention de Hambourg sur la recherche et le sauvetage maritime et la protection de l’économie maritime et la protection de l’économie maritime des États membres.
« la mise en place de l’école SAR et la tenue de la 5e session de formation SAR niveau 2 est possible grâce aux actions conjointes de la France de ses partenaires à travers le programme régional d’appui à l’action de l’Etat en mer dans le golfe de Guinée, du ministère de l’Europe et des affaires étrangères français et la contribution spécifique de l’école nationale de sécurité et d’administration de la mer de France » a indiqué le colonel Karim Coulibaly, par ailleurs directeur général de l’ARSTM.
Il a en outre expliqué que la capacité de certains États à assurer une gestion efficace des accidents et des catastrophes en mer demeure inefficace. Dès lors, ces deux actions majeures notamment la tenue dudit séminaire de formation et l’ouverture de l’école SAR viennent comme une bouffée d’oxygène pour pallier ces insuffisances et accroître les compétences.
Cette formation s’adresse prioritairement à des opérateurs SAR affectés dans les MRCC à des navigants amenés à intervenir dans des opérations SAR.
Quelques pays de l’ouest et du centre de l’Afrique sont représentés notamment, le Bénin ; le Cameroun ; le Cap-Vert ; le Congo ; le Gabon ; la Gambie ; le Ghana ; la Guinée-Bissau, le Liberia ; la Guinée-Conakry ; le Sénégal ; la sierra-Leone ; le Togo et la Côte d’Ivoire.
Cyprien K.