Le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly, a annoncé mercredi la suspension du Conseil régional du Gbêkè (centre) à la suite de "certains blocages permanents", à l'issue d'un Conseil des ministres.
"Le Conseil a enregistré une communication du ministère de l'Intérieur et de la sécurité relative à la suspension du Conseil régional du Gbêkê", a déclaré le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly, face à la presse, au palais présidentiel.
Il a expliqué que "suite à la condamnation du président de ce Conseil régional, un président intérimaire avait été désigné, mais il se trouve que certains blocages au sein de ce Conseil font qu'aucune session de ce Conseil n'a pu se tenir".
Suite à "des blocages permanents qui existaient, le ministère de tutelle a dû prendre cette décision afin de permettre au Conseil régional du Gbêkê de retrouver un fonctionnement normal en attendant le renouvellement des organes de cette entité décentralisée", a-t-il ajouté.
Le président du Conseil régional du Gbêkê, Jacques Mangoua, accusé dans une affaire de détention illégale de munition et d'armes blanches découvertes à son domicile, avait été mis en liberté provisoire en avril 2020. Sa place était assurée par un intérimaire.
AP/lsA/APA
"Le Conseil a enregistré une communication du ministère de l'Intérieur et de la sécurité relative à la suspension du Conseil régional du Gbêkê", a déclaré le porte-parole du gouvernement ivoirien, Amadou Coulibaly, face à la presse, au palais présidentiel.
Il a expliqué que "suite à la condamnation du président de ce Conseil régional, un président intérimaire avait été désigné, mais il se trouve que certains blocages au sein de ce Conseil font qu'aucune session de ce Conseil n'a pu se tenir".
Suite à "des blocages permanents qui existaient, le ministère de tutelle a dû prendre cette décision afin de permettre au Conseil régional du Gbêkê de retrouver un fonctionnement normal en attendant le renouvellement des organes de cette entité décentralisée", a-t-il ajouté.
Le président du Conseil régional du Gbêkê, Jacques Mangoua, accusé dans une affaire de détention illégale de munition et d'armes blanches découvertes à son domicile, avait été mis en liberté provisoire en avril 2020. Sa place était assurée par un intérimaire.
AP/lsA/APA