Le président du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir), Henri Konan Bédié, a exprimé mardi une "heureuse" fête de Tabaski aux musulmans, souhaitant une "Côte d'Ivoire rassemblée et réconciliée", dans un message.
"Que Dieu, dans sa miséricorde, entende et accepte nos prières pour une Côte d'Ivoire rassemblée et réconciliée autour de ses valeurs fondamentales", a déclaré le chef du Pdci, Henri Konan Bédié, dans un message.
Il a indiqué que c'est avec un plaisir renouvelé qu'il s'adresse à la communauté musulmane, en cette "heureuse occasion de la fête de l'Aïd El-Kébir ou fête de la Tabaski, se joignant à eux pour rendre grâce à Allah.
Le président du Pdci s'est réjoui de ce que le Dieu Tout-puissant permette de célébrer "en toute quiétude, une fois encore la fête du sacrifice du mouton: un sacrifice à Dieu pour lui dire que l'on est prêt à sacrifier le meilleur de nous-même pour lui".
"Que l'amour et le partage nous habitent en tout temps et en tout lieu", a conclu l'ancien président ivoirien Henri Konan Bédié, dont le parti autrefois allié au Rhdp (pouvoir), s'est rapproché de Laurent Gbagbo, son ex-rival.
AP/ls/APA
"Que Dieu, dans sa miséricorde, entende et accepte nos prières pour une Côte d'Ivoire rassemblée et réconciliée autour de ses valeurs fondamentales", a déclaré le chef du Pdci, Henri Konan Bédié, dans un message.
Il a indiqué que c'est avec un plaisir renouvelé qu'il s'adresse à la communauté musulmane, en cette "heureuse occasion de la fête de l'Aïd El-Kébir ou fête de la Tabaski, se joignant à eux pour rendre grâce à Allah.
Le président du Pdci s'est réjoui de ce que le Dieu Tout-puissant permette de célébrer "en toute quiétude, une fois encore la fête du sacrifice du mouton: un sacrifice à Dieu pour lui dire que l'on est prêt à sacrifier le meilleur de nous-même pour lui".
"Que l'amour et le partage nous habitent en tout temps et en tout lieu", a conclu l'ancien président ivoirien Henri Konan Bédié, dont le parti autrefois allié au Rhdp (pouvoir), s'est rapproché de Laurent Gbagbo, son ex-rival.
AP/ls/APA