En vue d’apporter des réponses immédiates aux préoccupations des populations ivoiriennes relatives à la cherté de la vie, le gouvernement a arrêté mercredi 21 juillet 2021 en conseil des ministres à Abidjan, des mesures pour adresser la question, a annoncé son porte-parole, Coulibaly Amadou.
M. Coulibaly a expliqué qu’il s’agit de la rencontre sectorielle avec les différents acteurs économiques, filière par filière, en vue de trouver des solutions pour contenir la hausse des prix. Il s’agit de l’encadrement des prix des produits de première nécessité tels que le riz, l’huile de palme raffiné, la viande de bœuf, la farine.
Le but est également de renforcer la surveillance du marché, notamment le contrôle, l’affichage des prix, mais également le contrôle des prix réglementés. Il s’agit aussi, de l’intensification de la communication sur les prix et les actions menées dans le cadre de la lutte contre la vie chère, la révision de la norme ivoirienne sur le pain, la facilitation du retour des bouviers qui convoient le bétail du Mali et du Burkina Faso en Côte d’Ivoire.
Le porte-parole du gouvernement a aussi relevé qu’il est question de l’installation des comités locaux de lutte contre la vie chère et du renforcement de la lutte contre le racket sous toutes ses formes. « Ces mesures immédiates seront suivies de mesures structurelles qui devront permettre de consolider les acquis et de lutter de façon pérenne contre la vie chère en Côte d’Ivoire », a déclaré M. Coulibaly.
Pour le porte-parole du gouvernement, les augmentations constatées ne sont pas spécifiques à la Côte d’Ivoire. Il a expliqué que les prix internationaux de la plupart des produits augmentaient au deuxième semestre 2020 et ont encore été marqués par un fort rebond au premier semestre 2021.
(AIP)
gak/cmas
M. Coulibaly a expliqué qu’il s’agit de la rencontre sectorielle avec les différents acteurs économiques, filière par filière, en vue de trouver des solutions pour contenir la hausse des prix. Il s’agit de l’encadrement des prix des produits de première nécessité tels que le riz, l’huile de palme raffiné, la viande de bœuf, la farine.
Le but est également de renforcer la surveillance du marché, notamment le contrôle, l’affichage des prix, mais également le contrôle des prix réglementés. Il s’agit aussi, de l’intensification de la communication sur les prix et les actions menées dans le cadre de la lutte contre la vie chère, la révision de la norme ivoirienne sur le pain, la facilitation du retour des bouviers qui convoient le bétail du Mali et du Burkina Faso en Côte d’Ivoire.
Le porte-parole du gouvernement a aussi relevé qu’il est question de l’installation des comités locaux de lutte contre la vie chère et du renforcement de la lutte contre le racket sous toutes ses formes. « Ces mesures immédiates seront suivies de mesures structurelles qui devront permettre de consolider les acquis et de lutter de façon pérenne contre la vie chère en Côte d’Ivoire », a déclaré M. Coulibaly.
Pour le porte-parole du gouvernement, les augmentations constatées ne sont pas spécifiques à la Côte d’Ivoire. Il a expliqué que les prix internationaux de la plupart des produits augmentaient au deuxième semestre 2020 et ont encore été marqués par un fort rebond au premier semestre 2021.
(AIP)
gak/cmas