Le Président Henri Konan Bédié, président du PDCI-RDA, est un homme de paix, un homme qui a une haute vision de la tolérance et du dialogue. Il l’a démontré tout le long de son parcours politique. Nous revisitons ici quelques faits illustratifs à partir de 1993, après le décès du Président Houphouët-Boigny.
Décembre 1993 : Au décès du Président Félix Houphouët-Boigny, l’on avait voulu l’empêcher d’assurer l’intérim et de terminer le mandat du Père de la Nation comme président de la République. Il a usé des voies et moyens pacifiques pour éviter les affrontements.
Janvier 1994 : Pour former son gouvernement, il tendait déjà la main à l’opposition d’alors (FPI, RDR, USD, PRCI, PIT) en vue d’un gouvernement d’union nationale. Seul le PIT acceptera en 1995.
Octobre 1995 : En prélude à l’élection présidentielle, le Front Républicain (FPI et RDR) a lancé le boycott actif qui donna les premiers morts d’élections politiques dans le pays. Bédié a usé une fois de plus de dialogue et de diplomatie pour ramener le calme et éviter des affrontements.
Décembre 1999 : Un coup d’Etat militaire encouragé par des civils a renversé son pouvoir. Mais Bédié n’a jamais appelé ses partisans à affronter les putschistes. Il est allé en exil sans une goutte de sang sur la main.
Octobre 2000 : Sa candidature parrainée par le PDCI-RDA a été rejetée par la chambre constitutionnelle de la Cour Suprême, mais Bédié n’a jamais appelé les militants dans la rue. Mieux, il a appelé à l’apaisement.
Octobre 2000 : Il revient d’exil pour prendre par au Forum de réconciliation nationale. Et il dira : « Je ne suis animé d’aucun sentiment de haine, ni de vengeance ».
Août 2002 : Il fait entrer le PDCI-RDA dans le gouvernement d’union mis en place par Laurent Gbagbo, président de la République
Septembre 2002 : La rébellion éclate. Bédié est des tout premiers à appeler au dialogue pour résoudre le problème.
De 2002 à 2003 : Au nom du PDCI-RDA et en son nom personnel, il est à tous les rendez-vous du dialogue inter ivoirien (Accra 1, 2 et 3 ; Pretoria 1 et 2, New-York, Linas Marcoussis, Kléber). A toutes ces étapes, il a prôné la paix et l’unité entre les fils de la Côte d’Ivoire.
Mars 2003 : Il fait entrer le PDCI-RDA dans le gouvernement dit de réconciliation, sous la houlette de Laurent Gbagbo.
Mai 2005 : Il fait créer le RHDP, la plateforme d’opposition démocratique (PDCI-RDA, RDR, UDPCI, MFA) pour la promotion d’une élection crédible.
Octobre 2010 : Candidat du PDCI-RDA, Bédié a été spolié de 600.000 voix, mais s’est abstenu de faire du tapage encore moins de lancer ses militants dans la rue.
Novembre 2010 : Bédié appelle à voter Ouattara au deuxième tour de la présidentielle. Comme dit dans les textes du RHDP.
De décembre 2010 à avril 2011 : Il est aux côtés d’Alassane Ouattara à l’hôtel du Golf sous blocus.
Septembre 2014 : De Daoukro, Bédié lance un appel aux militants du RHDP pour non seulement faire de Ouattara le candidat unique du RHDP en 2015, mais aussi de voter pour lui. Il a été sublimé.
Décembre 2017 : Il remet sur la table la question de l’alternance, sans être écouté. Mieux, il a été traité de tous les noms. Mais n’a rien fait pour mettre à mal la cohésion.
Avril 2018 : Le Bureau Politique du PDCI-RDA se prononce sur la marche du RHDP et surtout donne la position du PDCI-RDA sur la question du parti unifié. Bédié et le PDCI-RDA ont été insultés par leurs alliés. Mais il est resté défenseur de la paix.
Juillet 2018 : Le pouvoir pousse des ministres et cadres du PDCI-RDA à créer des démembrements du Parti pour mieux le dépecer. Après "Sur les traces", il y aura "Renaissance". Mais Bédié a demandé aux militants fidèles ne n’avoir d’yeux que pour le PDCI-RDA sans chercher à en découdre avec qui que ce soit.
Août 2018 : Il annonce le retrait du PDCI-RDA du RHDP qui devient "une secte" dédiée à un clan. Il sera vilipendé partout.
Décembre 2018 : Bédié appelle à la libération de Laurent Gbagbo détenu à La Haye. « 7 ans de détention, ça suffit », dira-t-il.
Septembre 2018 et octobre 2018 : Le PDCI-RDA est attaqué en justice par ses propres militants passés au RHDP. Bédié appelle ceux qui sont restés à garder le calme et à ne pas céder aux provocations.
Janvier 2019 : Naissance du RHDP parti unifié, avec à la clé injures et quolibets contre Bédié qui demande aux militants du PDCI-RDA de redynamiser le parti, sans répondre aux provocations des autres.
Février 2019 : Lancement de la plateforme de l’opposition CDRP regroupant le PDCI-RDA et tous les partis qui militent pour la démocratie et la paix.
Avril 2019 : Début du rapprochement avec le FPI pour une alliance non idéologique, mais pour conjuguer les efforts à l’obtention des conditions acceptables d’une élection présidentielle.
Juillet 2020 : Bédié rend visite à Laurent Gbagbo à Bruxelles. Une visite historique dans le sens de la réconciliation nationale.
Septembre 2020 : Alassane Ouattara candidat à un troisième mandat. L’opposition conteste, les manifestations pacifiques sont réprimées. Bédié a recommandé la démarche pacifique.
Octobre 2020 : La répression contre les manifestations fait des morts/ Bédié n’a jamais appelé à une quelconque résistance. Il a prôné des démarches démocratiques.
Novembre 2020 : Blocus militaire devant sa résidence le contraignant à une prison à domicile pendant huit (8) jours. Mais il n’a jamais appelé ses militants à riposter.
Novembre 2020 : Ouattara demande une rencontre pour décrisper la situation. Bédié accepte avec responsabilité et échange avec Ouattara au Golf hôtel.
Juillet 2021 : Bédié a reçu la visite de Laurent Gbagbo acquitté et rentré en Côte d’Ivoire depuis le 17 juin. De Daoukro, les deux ont lancé un appel à la réconciliation vraie et durable, à travers un dialogue national inclusif pour des échanges de vérité sur les problèmes qui minent la Côte d’Ivoire.
Décembre 1993 : Au décès du Président Félix Houphouët-Boigny, l’on avait voulu l’empêcher d’assurer l’intérim et de terminer le mandat du Père de la Nation comme président de la République. Il a usé des voies et moyens pacifiques pour éviter les affrontements.
Janvier 1994 : Pour former son gouvernement, il tendait déjà la main à l’opposition d’alors (FPI, RDR, USD, PRCI, PIT) en vue d’un gouvernement d’union nationale. Seul le PIT acceptera en 1995.
Octobre 1995 : En prélude à l’élection présidentielle, le Front Républicain (FPI et RDR) a lancé le boycott actif qui donna les premiers morts d’élections politiques dans le pays. Bédié a usé une fois de plus de dialogue et de diplomatie pour ramener le calme et éviter des affrontements.
Décembre 1999 : Un coup d’Etat militaire encouragé par des civils a renversé son pouvoir. Mais Bédié n’a jamais appelé ses partisans à affronter les putschistes. Il est allé en exil sans une goutte de sang sur la main.
Octobre 2000 : Sa candidature parrainée par le PDCI-RDA a été rejetée par la chambre constitutionnelle de la Cour Suprême, mais Bédié n’a jamais appelé les militants dans la rue. Mieux, il a appelé à l’apaisement.
Octobre 2000 : Il revient d’exil pour prendre par au Forum de réconciliation nationale. Et il dira : « Je ne suis animé d’aucun sentiment de haine, ni de vengeance ».
Août 2002 : Il fait entrer le PDCI-RDA dans le gouvernement d’union mis en place par Laurent Gbagbo, président de la République
Septembre 2002 : La rébellion éclate. Bédié est des tout premiers à appeler au dialogue pour résoudre le problème.
De 2002 à 2003 : Au nom du PDCI-RDA et en son nom personnel, il est à tous les rendez-vous du dialogue inter ivoirien (Accra 1, 2 et 3 ; Pretoria 1 et 2, New-York, Linas Marcoussis, Kléber). A toutes ces étapes, il a prôné la paix et l’unité entre les fils de la Côte d’Ivoire.
Mars 2003 : Il fait entrer le PDCI-RDA dans le gouvernement dit de réconciliation, sous la houlette de Laurent Gbagbo.
Mai 2005 : Il fait créer le RHDP, la plateforme d’opposition démocratique (PDCI-RDA, RDR, UDPCI, MFA) pour la promotion d’une élection crédible.
Octobre 2010 : Candidat du PDCI-RDA, Bédié a été spolié de 600.000 voix, mais s’est abstenu de faire du tapage encore moins de lancer ses militants dans la rue.
Novembre 2010 : Bédié appelle à voter Ouattara au deuxième tour de la présidentielle. Comme dit dans les textes du RHDP.
De décembre 2010 à avril 2011 : Il est aux côtés d’Alassane Ouattara à l’hôtel du Golf sous blocus.
Septembre 2014 : De Daoukro, Bédié lance un appel aux militants du RHDP pour non seulement faire de Ouattara le candidat unique du RHDP en 2015, mais aussi de voter pour lui. Il a été sublimé.
Décembre 2017 : Il remet sur la table la question de l’alternance, sans être écouté. Mieux, il a été traité de tous les noms. Mais n’a rien fait pour mettre à mal la cohésion.
Avril 2018 : Le Bureau Politique du PDCI-RDA se prononce sur la marche du RHDP et surtout donne la position du PDCI-RDA sur la question du parti unifié. Bédié et le PDCI-RDA ont été insultés par leurs alliés. Mais il est resté défenseur de la paix.
Juillet 2018 : Le pouvoir pousse des ministres et cadres du PDCI-RDA à créer des démembrements du Parti pour mieux le dépecer. Après "Sur les traces", il y aura "Renaissance". Mais Bédié a demandé aux militants fidèles ne n’avoir d’yeux que pour le PDCI-RDA sans chercher à en découdre avec qui que ce soit.
Août 2018 : Il annonce le retrait du PDCI-RDA du RHDP qui devient "une secte" dédiée à un clan. Il sera vilipendé partout.
Décembre 2018 : Bédié appelle à la libération de Laurent Gbagbo détenu à La Haye. « 7 ans de détention, ça suffit », dira-t-il.
Septembre 2018 et octobre 2018 : Le PDCI-RDA est attaqué en justice par ses propres militants passés au RHDP. Bédié appelle ceux qui sont restés à garder le calme et à ne pas céder aux provocations.
Janvier 2019 : Naissance du RHDP parti unifié, avec à la clé injures et quolibets contre Bédié qui demande aux militants du PDCI-RDA de redynamiser le parti, sans répondre aux provocations des autres.
Février 2019 : Lancement de la plateforme de l’opposition CDRP regroupant le PDCI-RDA et tous les partis qui militent pour la démocratie et la paix.
Avril 2019 : Début du rapprochement avec le FPI pour une alliance non idéologique, mais pour conjuguer les efforts à l’obtention des conditions acceptables d’une élection présidentielle.
Juillet 2020 : Bédié rend visite à Laurent Gbagbo à Bruxelles. Une visite historique dans le sens de la réconciliation nationale.
Septembre 2020 : Alassane Ouattara candidat à un troisième mandat. L’opposition conteste, les manifestations pacifiques sont réprimées. Bédié a recommandé la démarche pacifique.
Octobre 2020 : La répression contre les manifestations fait des morts/ Bédié n’a jamais appelé à une quelconque résistance. Il a prôné des démarches démocratiques.
Novembre 2020 : Blocus militaire devant sa résidence le contraignant à une prison à domicile pendant huit (8) jours. Mais il n’a jamais appelé ses militants à riposter.
Novembre 2020 : Ouattara demande une rencontre pour décrisper la situation. Bédié accepte avec responsabilité et échange avec Ouattara au Golf hôtel.
Juillet 2021 : Bédié a reçu la visite de Laurent Gbagbo acquitté et rentré en Côte d’Ivoire depuis le 17 juin. De Daoukro, les deux ont lancé un appel à la réconciliation vraie et durable, à travers un dialogue national inclusif pour des échanges de vérité sur les problèmes qui minent la Côte d’Ivoire.