Un atelier de lancement de l’élaboration des plans d’actions opérationnels des Groupes techniques initié dans le cadre du Projet d’Appui à la Compétitivité et à l’Intégration Régionale (PACIR2), a eu lieu le 1er octobre 2021 au siège de la représentation de la CEDEAO en Côte d’Ivoire.
Cette rencontre visait à lancer le processus d’élaboration des plans d’actions des groupes techniques par des échanges sur la méthodologie de conception de plans d’actions opérationnels, avec une emphase sur le cas du Groupe technique (Gt) Douane.
« Cette rencontre est capitale. Surtout qu’il s’agit, de façon spécifique, de passer en revue l’ensemble des groupes techniques, tout en mettant l’accent sur le Groupe technique Douane, à travers des échanges sur une méthode commune d’élaboration des plans d’actions opérationnels à tous les groupes techniques, le champ de suivi des différents engagements pris par l’Accord de Partenariat Economique Intérimaire (APEI), les activités à réaliser dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie Accord de partenariat économique (APE), et le mode de fonctionnement (arrêté ministériel, règlement intérieur, feuille de route) », a expliqué Dr Golé Bi Guillaume, Directeur des politiques communautaires macroéconomique et financière au ministère en charge de l’Intégration africaine.
Les Accords de Partenariat Economiques (APE) sont très importants pour la Côte d’Ivoire; ce qui explique, selon lui, la présence du pays sur deux marchés, celui de l’Union européenne et celui de l’Afrique de l’Ouest.
« L’APE était l’option la mieux étudiée (…). C’est pourquoi, nous avons mis en place une stratégie basée sur cinq (5) axes. APE : contexte et processus de mise en œuvre ; Présentation général de la stratégie APE ; Projet de cadre institutionnel des groupes techniques et méthodologie d’élaboration des plans d’actions opérationnels », a-t-il signifié.
Le Projet d’Appui à la Compétitivité et à l’Intégration Régionale (PACIR2) est un axe majeur de la coopération entre la Côte d’Ivoire et l’Union européenne qui le finance à hauteur de 9 millions d’euros (5,8 milliards FCFA)
P. R
