Alors que le monde vient de célébrer la Journée de la santé mentale, la perception de la maladie mentale demeure problématique en Côte d’Ivoire. Tant le malade que sa famille continuent de faire l’objet de stigmatisations dans une société où les troubles psychiatriques sont souvent diabolisés.
"Possédés", "fous", "toc-toc", "bête-bête": les termes ne manquent pas pour désigner les malades mentaux dans la société ivoirienne où l’emporte parfois sur la raison la tentation de cacher aux regards ceux qui sont considérés comme objet de honte, voire de déshonneur pour leurs familles.
Mais plus que l’expression d’un mépris social, ces qualificatifs péjoratifs traduisent l'appréhension qu’inspirent ces personnes que des... suite de l'article sur Sputnik News