« Sur la voie de l’épanouissement professionnel : le burn-out en Afrique comment en arriver à bout ? ». C’est le titre du premier opus autobiographique de l’écrivaine Nelly Laubhouet Mendonça dévoilé au grand public, ce vendredi 22 septembre à l’hôtel Palm Club.
Cette sortie livresque, témoignage d’une affranchie des effets pervers du stress au travail, a été doublée de la présentation de « Mon journal de vie », contenant des ateliers pratiques destinés aux personnes souffrant de syndrome du « burn-out ». L’anglicisme se définit comme un état de fatigue intense causé par le stress au travail. Pendant près de deux heures, l’auteure de cette auto-édition, passée du salariat à travailleur indépendant puis entrepreneure, a instruit ses invités, sur l’impact de ce phénomène. « J’ai été moi-même victime du burn-out. Les premiers symptômes ne sont pas forcément visibles. Mais ils se manifestent par un stress chronique au travail. On devient hystérique, colérique… C’est un phénomène qui touche généralement les personnes à fond dans leur travail. J’ai décidé d’en parler parce qu’il détruit des familles, des vies et même des entreprises », affirme-t-elle.
Une fois la page sombre de cette trajectoire de vie tournée, l’ex-employée engagée a trouvé sa voix, grâce au réconfort divin, dans la décoration intérieure, l'aménagement d'espaces et le désencombrement appris à l'école d'architecture. Une femme battante, auparavant en quête d’emploi stable, qui a dû troquer ses ensembles tailleurs et escarpins pour le monde passionnant l’entrepreneuriat. Dans ce nouveau costume de conseillère en relation d'aide, cheffe d'entreprise, conférencière et coach de vie en devenir, ce ne sont pas les conseils qui manquent dans l’ouvrage
Désormais, l'auteure ambitionne d'ouvrir la maison « NELCA-Home » un centre de bien-être pour personne en rétablissement suite au burn-out. Pour annoncer les couleurs, un programme d'accompagnement de son Cabinet Nelca Conseils dénommé « Renaissance » qui se déploie aux salariés et aux entreprises est proposé dans les dernières pages de l’œuvre.
Nk