En Côte d’Ivoire, grand pays producteur de noix de cajou, la période de commercialisation de l’anacarde est timide. Au détriment des producteurs et des transformateurs locaux, qui abordent une nouvelle année difficile.
Cette année, les prix bord champ varient entre 200 et 300 francs CFA le kilo. Problème : la plupart des acheteurs n’ont pas pré-financé la campagne. Les producteurs continuent donc de stocker leurs noix, eux qui avaient déjà sous les bras, pour certains, un stock non vendu de l’année passée. Faute de liquidités, la campagne reste timide, constatent plusieurs producteurs.
Et les usines locales, comme les multinationales, sont dans un moment d’observation. Elles estiment qu’il n’est pas rentable d’acheter... suite de l'article sur RFI