Alors que plusieurs cas ont récemment fait la une des journaux, les professionnels de santé espèrent que cette médiatisation permettra une prise de conscience sur ce phénomène encore mal compris par l’opinion publique.
Il y a d’abord eu deux suicides au sein de l’armée ivoirienne, en avril. L’un, un adjudant en permission, a tué sa femme avant de retourner l’arme contre lui dans la commune de Bingerville. L’autre, un médecin lieutenant-colonel, s’est tiré une balle dans la tête à son domicile de Yopougon, à Abidjan.
Puis, mardi 9 juillet, un homme a garé sa voiture sur le pont Général-de-Gaulle, au Plateau, avant de sauter dans la lagune. Son corps, repêché quelques heures plus tard, a été identifié... suite de l'article sur Le Monde