Trois jours après l’élection présidentielle, le chef de l’État a été arrêté et des hommes en uniforme ont annoncé la suspension du processus électoral, ainsi que la fermeture des frontières. Les opposants Domingos Simões Pereira et Fernando Dias ont également été interpellés.
Un « Haut commandement militaire pour la restauration de la sécurité nationale et de l’ordre public » a annoncé, dans l’après-midi de ce mercredi 26 novembre, déposer le chef de l’État Umaro Sissoco Embaló, prendre le « contrôle total » de la Guinée-Bissau, « suspendre le processus électoral » et fermer les frontières terrestres et aériennes. Un... suite de l'article sur Jeune Afrique

