Plusieurs accidents mortels ont été enregistrés sur cette nouvelle voie, du fait de l’imprudence des usagers.
Selon les informations diffusées par le quotidien gouvernemental, Frat-Mat, on note déjà 15 morts et plus d’une soixantaine de blessés.
C’est le samedi 3 décembre 2016, à Agnibilékrou, que le Président de la République Alassane Ouattara procédait à l’inauguration de l’axe routier Pont Comoé – Abengourou – Agnibilékrou, entièrement réhabilité.
Et depuis, plusieurs accidents mortels ont été enregistrés sur cette nouvelle voie, du fait de l’imprudence des usagers. Lesquels usagers s’adonnent à la vitesse.
Le drame le plus marquant sur cette voie, est celui enregistré dans la matinée du 26 février 2017. Ce jour-là, une dizaine d’usagers avaient péri dans un tragique accident de car.
Aussi, le vendredi 24 mars, c’était au tour d’une jeune diplômée du cycle supérieur de l’Ena, portant une grossesse de 7 mois de trouver la mort sur cette nouvelle voie.
Et ce, alors qu’elle se rendait à Abengourou pour se faire doter.
Le 2 avril 2017, un instituteur et son cousin sur leur moto, se faisaient broyer par un taxi-brousse à 3 kilomètres de l’entrée d’Abengourou.
Quelques jours avant, un gros camion de marchandises obstruait totalement la voie principale d’Abengourou après s’être renversé sur la chaussée.
Autant d’accidents qui laissent croire que la réhabilitation de cette voie naguère cahoteuse qui devait soulager les populations, est en train de virer au drame.
Selon les informations diffusées par le quotidien gouvernemental, Frat-Mat, on note déjà 15 morts et plus d’une soixantaine de blessés.
C’est le samedi 3 décembre 2016, à Agnibilékrou, que le Président de la République Alassane Ouattara procédait à l’inauguration de l’axe routier Pont Comoé – Abengourou – Agnibilékrou, entièrement réhabilité.
Et depuis, plusieurs accidents mortels ont été enregistrés sur cette nouvelle voie, du fait de l’imprudence des usagers. Lesquels usagers s’adonnent à la vitesse.
Le drame le plus marquant sur cette voie, est celui enregistré dans la matinée du 26 février 2017. Ce jour-là, une dizaine d’usagers avaient péri dans un tragique accident de car.
Aussi, le vendredi 24 mars, c’était au tour d’une jeune diplômée du cycle supérieur de l’Ena, portant une grossesse de 7 mois de trouver la mort sur cette nouvelle voie.
Et ce, alors qu’elle se rendait à Abengourou pour se faire doter.
Le 2 avril 2017, un instituteur et son cousin sur leur moto, se faisaient broyer par un taxi-brousse à 3 kilomètres de l’entrée d’Abengourou.
Quelques jours avant, un gros camion de marchandises obstruait totalement la voie principale d’Abengourou après s’être renversé sur la chaussée.
Autant d’accidents qui laissent croire que la réhabilitation de cette voie naguère cahoteuse qui devait soulager les populations, est en train de virer au drame.