L’image a circulé sur la toile et été abondamment commenté : un journaliste-blogueur brutalisé par les policiers lors d’une marche de l’opposition le 22 mars dernier.
Une réaction d’Amnesty International a rapidement condamné cet acte à travers un communiqué de M. Gaetan Mooto, chercheur sur l’Afrique de l’Ouest de l’organisation.
Le journaliste- bloggeur Daouda Coulibaly qui était présent dans le cadre de son travail a été agressé par les forces de l’ordre, arrêté puis relâché. Il a perdu une somme d’argent et des effets personnels. Il a confié à Amnesty International , selon le communiqué : «Pendant qu’un policier cherchait à me faire tomber en marchant sur ma cheville, les autres me donnaient des coups sur les côtes... L’un d’eux me frappait avec une matraque sur mon genou gauche. Quand je suis tombé, me tordant de douleur, ils m’ont traîné sur le sol sur environ un mètre. J’ai perdu mon portefeuille, de l’argent, et un appareil pour la connexion à internet. Quand ils m’ont relâché, je suis allé au commissariat de police où un officier a refusé de prendre ma plainte…».
« Les responsables de cette agression contre le journaliste doivent être identifiés et traduits en justice au cours de procès équitables» a déclaré Gaetan Mootoo.
Une réaction d’Amnesty International a rapidement condamné cet acte à travers un communiqué de M. Gaetan Mooto, chercheur sur l’Afrique de l’Ouest de l’organisation.
Le journaliste- bloggeur Daouda Coulibaly qui était présent dans le cadre de son travail a été agressé par les forces de l’ordre, arrêté puis relâché. Il a perdu une somme d’argent et des effets personnels. Il a confié à Amnesty International , selon le communiqué : «Pendant qu’un policier cherchait à me faire tomber en marchant sur ma cheville, les autres me donnaient des coups sur les côtes... L’un d’eux me frappait avec une matraque sur mon genou gauche. Quand je suis tombé, me tordant de douleur, ils m’ont traîné sur le sol sur environ un mètre. J’ai perdu mon portefeuille, de l’argent, et un appareil pour la connexion à internet. Quand ils m’ont relâché, je suis allé au commissariat de police où un officier a refusé de prendre ma plainte…».
« Les responsables de cette agression contre le journaliste doivent être identifiés et traduits en justice au cours de procès équitables» a déclaré Gaetan Mootoo.