La onzième édition de Clap Ivoire, le concours des jeunes réalisateurs de l'espace UEMOA a rendu son verdict hier au Cinéma "la Fontaine" de Sococé II Plateaux. Au final d'un concours rehaussé par des « productions cinématographiques de bon niveau », selon Charlemagne Coffi, président du jury, c'est l'Ivoirien Jean- Eudes Kodjo, avec son film "le Voile déchiré" qui s'est adjugé le Grand Prix Kodjo Ebouclé" doté d'une enveloppe de 2 millions de Francs CFA et d'un trophée. Il succède ainsi à Jean- Noël Boyou, lauréat 2010. « C'est le résultat de l'encadrement de certains aînés au nombre desquels (Ndlr ; paix à son âme) Hien Touviel à qui je dédie ce prix », rapporte l'heureux gagnant, tout en écrasant quelques larmes en souvenir à celui- là qui a guidé ses premiers pas et qui fut lauréat de ce concours en 2008. Ouvert le 30 novembre dernier, Clap Ivoire 2011 a mis en compétition huit courts métrages dans les catégories Documentaires et huit films fiction émanant des pays de l'espace de l'UEMOA.
Outre le "Grand Prix Kodjo Ebouclé", le prix UEMOA du Documentaire (1 million FCFA) ; le Prix Uemoa de la meilleure Fiction (1million de Francs CFA) ont été respectivement arrachés par "les derniers tirailleurs" du Malien Moustapha Diallo et "Une mère qui attend" du Béninois Senami Kapetchogbé ont été décernés. Sans oublier "le prix de l'Intégration" (250 mille Francs CFA).
Cette victoire du jeune réalisateur ivoirien traduit, sans nul doute, l'aspiration des autorités ivoiriennes qui est l'avènement de d'une Côte d'Ivoire qui gagne sur tous les fronts. Et cela, le Directeur de cabinet, Dembélé Fausseni, représentant le ministre de la Culture l'a clairement affiché : « la Côte d'Ivoire s'engage à réaliser des productions de qualité ; Les instruments et les structures pour y parvenir sont en place.» JAD
Outre le "Grand Prix Kodjo Ebouclé", le prix UEMOA du Documentaire (1 million FCFA) ; le Prix Uemoa de la meilleure Fiction (1million de Francs CFA) ont été respectivement arrachés par "les derniers tirailleurs" du Malien Moustapha Diallo et "Une mère qui attend" du Béninois Senami Kapetchogbé ont été décernés. Sans oublier "le prix de l'Intégration" (250 mille Francs CFA).
Cette victoire du jeune réalisateur ivoirien traduit, sans nul doute, l'aspiration des autorités ivoiriennes qui est l'avènement de d'une Côte d'Ivoire qui gagne sur tous les fronts. Et cela, le Directeur de cabinet, Dembélé Fausseni, représentant le ministre de la Culture l'a clairement affiché : « la Côte d'Ivoire s'engage à réaliser des productions de qualité ; Les instruments et les structures pour y parvenir sont en place.» JAD