La grande scène du Festival des musiques urbaines d’Anoumabo (FEMUA), s’ouvre ce vendredi soir avec la musique traditionnelle à travers Sidonie La Tigresse, a appris APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Konan N’Dri Sidonie alias Sidonie La Tigresse, star de la musique baoulé (ethnie du centre du pays) qui prestera ce vendredi, est « fière d’être sur la scène du FEMUA aux côtés de grands noms comme Lokoua Kanza qu’elle admire beaucoup ».
La Tigresse Sidonie a félicité « son fils » Salif Traoré dit A’Salfo, Commissaire général du FEMUA au cours de la traditionnelle conférence de presse qui s’est tenue à l’Institut national de la jeunesse et des sports( INJS) qui accueille la 11è édition de l’événement.
Pour Séhia Luckson Padaud, qui se présente comme l’un des « gardiens du temple » de la musique tradi-moderne, « il s’agit d’une victoire ». Cet artiste qui chante depuis 1982 soutient qu’il va « donner la couleur de la musique tradi- moderne » remerciant les organisateurs du FEMUA pour cette sélection.
Bill Aka Kora du Burkina Faso , salue quant à lui , « le volet humanitaire » de cet événement annuel quand Dobet Gnaoré , la première artiste ivoirienne à remporter « un Grammy Award, note la gratuité du festival qui permet aux jeunes de découvrir les artistes internationaux ».
Cette édition 2018 se déroule autour du thème « jeunesse et immigration clandestine » avec près de 150.000 festivaliers attendus, plusieurs artistes locaux et internationaux dont huit « grosses stars internationales », notamment, Sidiki Diabaté, Lokua Kanza, Soprano, Yemi Alade, Kedjevara DJ et les Leaders. L'apothéose est prévue le 22 avril prochain à Korhogo, au nord du pays.
YS/hs/ls/APA
Konan N’Dri Sidonie alias Sidonie La Tigresse, star de la musique baoulé (ethnie du centre du pays) qui prestera ce vendredi, est « fière d’être sur la scène du FEMUA aux côtés de grands noms comme Lokoua Kanza qu’elle admire beaucoup ».
La Tigresse Sidonie a félicité « son fils » Salif Traoré dit A’Salfo, Commissaire général du FEMUA au cours de la traditionnelle conférence de presse qui s’est tenue à l’Institut national de la jeunesse et des sports( INJS) qui accueille la 11è édition de l’événement.
Pour Séhia Luckson Padaud, qui se présente comme l’un des « gardiens du temple » de la musique tradi-moderne, « il s’agit d’une victoire ». Cet artiste qui chante depuis 1982 soutient qu’il va « donner la couleur de la musique tradi- moderne » remerciant les organisateurs du FEMUA pour cette sélection.
Bill Aka Kora du Burkina Faso , salue quant à lui , « le volet humanitaire » de cet événement annuel quand Dobet Gnaoré , la première artiste ivoirienne à remporter « un Grammy Award, note la gratuité du festival qui permet aux jeunes de découvrir les artistes internationaux ».
Cette édition 2018 se déroule autour du thème « jeunesse et immigration clandestine » avec près de 150.000 festivaliers attendus, plusieurs artistes locaux et internationaux dont huit « grosses stars internationales », notamment, Sidiki Diabaté, Lokua Kanza, Soprano, Yemi Alade, Kedjevara DJ et les Leaders. L'apothéose est prévue le 22 avril prochain à Korhogo, au nord du pays.
YS/hs/ls/APA