Les artistes ivoiriens et africains ont été appelés samedi à s’engager dans la lutte contre la migration clandestine des jeunes.
Lors d’un point de presse en marge du Festival des musiques urbaines d’Abidjan-Anoumabo (FEMUA) à Abidjan, son Commissaire général Salif Traoré a fait état de la nécessité pour chaque artiste du continent d’être un ambassadeur de la lutte contre la migration irrégulière à travers des actions permanentes.
"Il est question que chacun apporte sa touche, place un mot, dans ses concerts, interviews et tournées", a-t-il précisé.
"La lutte doit être permanente et doit demeurer. On doit continuer jusqu’à ce que le fléau soit éradiqué", a insisté M. Traoré.
Pour le secrétaire exécutif de la Coalition nationale de la jeunesse active (CNJA), Charles Djomand, des actions concertées doivent se multiplier pour dissuader les jeunes et les femmes d’entreprendre cette aventure périlleuse au risque de leur vie.
"Ne pas aller en Europe n’est pas une fatalité", a-t-il affirmé.
Le gouvernement ivoirien a décidé d’intensifier une campagne publique de sensibilisation contre la migration irrégulière dans les zones de départ identifiées, dont Daloa située à 400 km d’Abidjan.
Selon la Direction générale des Ivoiriens de l’Extérieur, quelque 1.24 million d’Ivoiriens vivent à ce jour à l’étranger.
De 2016 à 2017, plus de 3.000 Ivoiriens sont arrivés en Italie par voie maritime.
Selon les associations qui oeuvrent contre l’immigration clandestine, ces 20 dernières années, environ 20.000 personnes ont perdu la vie en tentant de se rendre en Europe par la Méditerranée.
Lors d’un point de presse en marge du Festival des musiques urbaines d’Abidjan-Anoumabo (FEMUA) à Abidjan, son Commissaire général Salif Traoré a fait état de la nécessité pour chaque artiste du continent d’être un ambassadeur de la lutte contre la migration irrégulière à travers des actions permanentes.
"Il est question que chacun apporte sa touche, place un mot, dans ses concerts, interviews et tournées", a-t-il précisé.
"La lutte doit être permanente et doit demeurer. On doit continuer jusqu’à ce que le fléau soit éradiqué", a insisté M. Traoré.
Pour le secrétaire exécutif de la Coalition nationale de la jeunesse active (CNJA), Charles Djomand, des actions concertées doivent se multiplier pour dissuader les jeunes et les femmes d’entreprendre cette aventure périlleuse au risque de leur vie.
"Ne pas aller en Europe n’est pas une fatalité", a-t-il affirmé.
Le gouvernement ivoirien a décidé d’intensifier une campagne publique de sensibilisation contre la migration irrégulière dans les zones de départ identifiées, dont Daloa située à 400 km d’Abidjan.
Selon la Direction générale des Ivoiriens de l’Extérieur, quelque 1.24 million d’Ivoiriens vivent à ce jour à l’étranger.
De 2016 à 2017, plus de 3.000 Ivoiriens sont arrivés en Italie par voie maritime.
Selon les associations qui oeuvrent contre l’immigration clandestine, ces 20 dernières années, environ 20.000 personnes ont perdu la vie en tentant de se rendre en Europe par la Méditerranée.