Le Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) vient de frapper grand un coup. A deux mois de l’élection présidentielle 2020, le parti au pouvoir a attiré dans son escarcelle plusieurs dizaines de femmes du Front populaire ivoirien (Fpi). Regroupées au sein d’une fédération dénommée Fédération des amazones du Fpi, elles ont décidé de soutenir le candidat du parti présidentiel à la prochaine élection président. C’était hier au cours d’une rencontre au siège annexe du Rhdp, à la Rue Lepic à Cocody. « Nous, les femmes de la Fédération des Amazones du Fpi de Côte d’Ivoire pour la victoire du Rhdp, avons décidé de vous accompagner dans cette marche inexorable dans le développement dont votre victoire du 31 octobre 2020 pour votre premier mandat de la 3e République », a annoncé Guéi Catherine, présidente de ladite fédération, dans une déclaration. Et elle en a donné les raisons. Selon elle, le candidat du Rhdp, Alassane Ouattara est à l’évidence, ce soleil lumineux, qui par son éclat puissant a pu dissiper, dans son parcours, à pas de géant, les ténèbres dans lesquelles notre pays était développé. « Alassane Ouattara, à la tête de la Côte d’Ivoire, c’est la permanence de la clarté du soleil de paix et du développement à la fois quantitatif, qualitatif et durable », a-t-elle expliqué. Ajoutant que le « Président Alassane Ouattara est pour la Côte d’Ivoire, le digne fils porteur d’espoir et d’espérance, il est la vraie solution, la solution indispensable ». Des actions qui ont poussé les Amazones du Fpi à inviter le candidat du parti au pouvoir à continuer son action à la tête de la Côte d’Ivoire c’est-à-dire la continuation de son développement, sa stabilité et la paix. « Monsieur le Président, la Côte d’Ivoire a besoin de vous. Les Ivoiriens ont besoin de vous, pour votre leadership exceptionnel, vous et votre merveilleuse épouse au grand cœur, pour votre grande vision qui privilégie le vivre-ensemble et la richesse partagée. Les femmes ont besoin de vous, pour la continuation de le développement du pays, amorcé depuis votre accession à la magistrature suprême », a-t-elle supplié.
Leur mise en garde à l’opposition
La présidente de la Fédération des Amazones, Guéi Catherine, n’a, par ailleurs, pas manqué de lancer un appel «amical» aux leaders de l’opposition politique. « Je vous prie de bien vouloir préserver la paix. Cette paix qui fut jadis et demeure l’évangile sociopolitique de la Côte d’Ivoire moderne. Cultivons la paix, arrosons la paix, entretenons la paix et vulgarisons la paix », a-t-elle lancé à l’endroit de l’opposition. Exhortant à « éviter la violence pour préserver les acquis actuels de la paix et la tranquillité des Ivoiriens ». Elle faisait ainsi allusion aux récentes manifestations de rue de l’opposition politique qui ont causé des pertes en vie humaines, des dégâts matériels importants et dont les jeunes ont été identifiés, pour la plupart, comme les auteurs. « Chers leaders de l’opposition, en dehors de la politique, nous sommes tous issus d’une même mère : « la Côte d’Ivoire». Et de même que la Côte d’Ivoire souffre quand, il y a la violence, de même, nous les femmes, mères que nous sommes, souffrons pour la mort de nos enfants, quel que soit leur bord politique », a-t-elle poursuivi. Avant de poursuivre : «Nous vous demandons pardon. Laissez nos enfants en dehors de vos nouveaux conflits qui n’ont pas lieu d’être. Arrêtez de les utiliser pour vos propres intérêts. Arrêtez de les appeler une fois encore à la violence de mort gratuite pendant que vos enfants sont confortablement installés en Europe et même aux Etats-Unis ». Aux jeunes, la présidente Guéi Catherine a invité à une prise de conscience. Selon elle, il ne leur appartient pas d’être des instruments du crime et leur autodestruction. « Ton avenir est devant toi. C’est à toi de le préserver en disant ‘’non’’ à la violence ».
Une thèse amplifiée par le Cyberactiviste, Johnny Patcheko. « J’aimerai dire aux Présidents Gbagbo et Bédié que la jeunesse a compris leur jeu. La jeunesse ne sera pas votre instrument », s’est-il voulu clair.
Kandia Camara met les Amazones du Fpi en mission
Une initiative saluée par les responsables des femmes du Rhdp, avec à leur tête Kandia Camara. Pour l’atteinte de l’ultime objectif qui est l’élection du candidat du Rhdp, au soir du 31 octobre, le ministre de l’Education a tenu à mettre ses interlocutrices du jour en mission. « Nous vous demandons de continuer de sillonner les quartiers et les communes d’Abidjan. Nous allons vous permettre de sillonner la Côte d’Ivoire. C’est vous qui allez diriger la campagne du Président Alassane Ouattara. C’est la mission que nous allons vous confier », a exhorté, d’entrée, la ‘’Péré nationale’’. Avant de donner quelques éléments de langage pour convaincre leurs interlocuteurs sur le terrain. Selon elle, les amazones du Fpi iront sur le terrain pour prêcher la bonne nouvelle aux autres militantes du Fpi. « C’est ensemble que nous irons dire aux Ivoiriens que les partis politiques existent, mais les femmes de Côte d’Ivoire ont décidé de se mettre ensemble pour dire que c’est unis que nous sommes forts, que nous allons garantir la paix et la stabilité dans notre pays et c’est unis que nous allons garantir le développement de la Côte d’Ivoire», a-t-elle exhorté. Avant de conclure en ces termes : « N’oubliez pas de parler à nos maris et à nos enfants. Les enfants sont la prunelle des yeux de leurs parents ».
Sercom
Leur mise en garde à l’opposition
La présidente de la Fédération des Amazones, Guéi Catherine, n’a, par ailleurs, pas manqué de lancer un appel «amical» aux leaders de l’opposition politique. « Je vous prie de bien vouloir préserver la paix. Cette paix qui fut jadis et demeure l’évangile sociopolitique de la Côte d’Ivoire moderne. Cultivons la paix, arrosons la paix, entretenons la paix et vulgarisons la paix », a-t-elle lancé à l’endroit de l’opposition. Exhortant à « éviter la violence pour préserver les acquis actuels de la paix et la tranquillité des Ivoiriens ». Elle faisait ainsi allusion aux récentes manifestations de rue de l’opposition politique qui ont causé des pertes en vie humaines, des dégâts matériels importants et dont les jeunes ont été identifiés, pour la plupart, comme les auteurs. « Chers leaders de l’opposition, en dehors de la politique, nous sommes tous issus d’une même mère : « la Côte d’Ivoire». Et de même que la Côte d’Ivoire souffre quand, il y a la violence, de même, nous les femmes, mères que nous sommes, souffrons pour la mort de nos enfants, quel que soit leur bord politique », a-t-elle poursuivi. Avant de poursuivre : «Nous vous demandons pardon. Laissez nos enfants en dehors de vos nouveaux conflits qui n’ont pas lieu d’être. Arrêtez de les utiliser pour vos propres intérêts. Arrêtez de les appeler une fois encore à la violence de mort gratuite pendant que vos enfants sont confortablement installés en Europe et même aux Etats-Unis ». Aux jeunes, la présidente Guéi Catherine a invité à une prise de conscience. Selon elle, il ne leur appartient pas d’être des instruments du crime et leur autodestruction. « Ton avenir est devant toi. C’est à toi de le préserver en disant ‘’non’’ à la violence ».
Une thèse amplifiée par le Cyberactiviste, Johnny Patcheko. « J’aimerai dire aux Présidents Gbagbo et Bédié que la jeunesse a compris leur jeu. La jeunesse ne sera pas votre instrument », s’est-il voulu clair.
Kandia Camara met les Amazones du Fpi en mission
Une initiative saluée par les responsables des femmes du Rhdp, avec à leur tête Kandia Camara. Pour l’atteinte de l’ultime objectif qui est l’élection du candidat du Rhdp, au soir du 31 octobre, le ministre de l’Education a tenu à mettre ses interlocutrices du jour en mission. « Nous vous demandons de continuer de sillonner les quartiers et les communes d’Abidjan. Nous allons vous permettre de sillonner la Côte d’Ivoire. C’est vous qui allez diriger la campagne du Président Alassane Ouattara. C’est la mission que nous allons vous confier », a exhorté, d’entrée, la ‘’Péré nationale’’. Avant de donner quelques éléments de langage pour convaincre leurs interlocuteurs sur le terrain. Selon elle, les amazones du Fpi iront sur le terrain pour prêcher la bonne nouvelle aux autres militantes du Fpi. « C’est ensemble que nous irons dire aux Ivoiriens que les partis politiques existent, mais les femmes de Côte d’Ivoire ont décidé de se mettre ensemble pour dire que c’est unis que nous sommes forts, que nous allons garantir la paix et la stabilité dans notre pays et c’est unis que nous allons garantir le développement de la Côte d’Ivoire», a-t-elle exhorté. Avant de conclure en ces termes : « N’oubliez pas de parler à nos maris et à nos enfants. Les enfants sont la prunelle des yeux de leurs parents ».
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