Comme en 2006, Miss Delon a passé le réveillon de la Saint Sylvestre 2008, loin d’Abidjan, précisément à Bamako, la capitale malienne. Invitée du célèbre musicien-arrangeur malien Boncana Maïga, parmi tant de ses pairs, dans le cadre d’une soirée VIP qu’il conduit dans la capitale malienne depuis 2004, la chanteuse ivoirienne a partagé sa grâce musicale à travers deux chansons.
Bravant l’harmattan, on s’est réveillé tôt ce matin du mercredi 31 décembre 2008 sous la paillote circulaire d’Azalaï Grand Hôtel du quartier Darsalam de Bamako. Dans quelques heures, l’espace va abriter la «Grande nuit de la Saint Sylvestre à Bamako», un diner-gala Very important person (VIP) que renouvelle depuis 2004, dans la capitale malienne, le perfectionniste musicien-arrangeur, Boncana Maïga dit Maestro. Alors, on met la dernière main à la pâte. Techniciens, décorateurs, préparateurs des tables du buffet sont à pied d’oeuvre sous la houlette de Boncana. Au four et au moulin, l’organisateur en chef du gala ne veut voir aucun ratage.
“J’ai besoin que vous me communiquiez dans l’ordre les deux titres que va jouer Miss Delon”, lance-t-il à l’endroit du staff de l’artiste, entre des va-et-vient incessants, entre la paillote et le hall de l’hôtel. Sans tarder, l’équipe managériale de Miss Delon s’exécute. C’est d’abord “Bacan” (CD 3) puis “S’unir” (CD 11) qui lui sont communiqués pour la console technique. Il s’agit en fait de deux chansons respectivement rumba et zouk extraites de son nouvel et séduisant album “Hosanna” déjà disponible en France.
En passant par la piscine
Il est bientôt 16h. Alors que les préparatifs se poursuivent sous la paillote et que les choses prennent progressivement forme, Miss Delon est à la piscine de l’hôtel avec sa fillette, sous l’œil vigilant de sa dame de chambre, Christelle N’Goran. Lorsqu’elle met fin à sa nage de mise en forme, vers 18 h, la sono vient d’être rodée… tout est fin prêt.
Peu après 21 h, les premiers convives s’installent. Au bout de trois quarts d’heure, la paillote est prise d’assaut. La soirée peut commencer. Et c’est l’humoriste ivoirien Adama Dahico qui transmet la nouvelle. Il donne lui-même le ton en exécutant, en lever de rideau, un de ses titres avant d’entrer dans sa peau de principal présentateur de la soirée, appuyé par Boncana Maïga. Il appelle successivement Batoma Kouyaté, Zouzou, Baba Salah pour un premier groupe de chanteurs maliens qui chauffent la salle..
La grande Miss se déhanche, sensuelle, majestueuse.
C’est bientôt le tour de Miss Delon d’entrer en scène et de marquer, comme en 2006, le réveillon de la Saint Sylvestre à Bamako. Dahico l’annonce en grande pompe. La chanteuse sort des loges, avance sur le podium et lance un regard circulaire sur le public. Elle est sanglée dans une superbe robe de soirée de couleur jaune. La grande Miss Delon se déhanche, sensuelle, majestueuse. La diva arrache tout de suite les regards du public VIP vers son plastique qui fit mouche, lors de l’élection Miss Côte d’Ivoire 2000 qu’elle enleva brillamment avant de se lancer dans la chanson. «Bacan». C’est sur ce bel air de rumba langoureux comme le veut la tradition, que Miss Delon commence son exercice de double séduction. Elle persuade en enchaînant avec «S’unir». Excellent. C’est du zouk qui ne laisse personne indifférent, avec un message d’amour auquel presque tous adhèrent. Mission accomplie pour Miss Delon qui se retire sous des ovations nourries du public (la tradition veut que les Maliens applaudissent à la fin de toute prestation) et laisse la place aux autres invités de la soirée.
Chacune se jette dans les bras de l’autre et se raconte…
Dans les loges, la chanteuse ivoirienne est surprise par les félicitations de la Malienne Bibata Cissé, Miss Mali, Miss CEDEAO 2000, qui surgit du public. On assiste alors à un indescriptible grand moment de retrouvailles – 8 années après – entre ces deux figures inoubliables de la beauté africaine. Sur fond de délire, chacune se jette dans les bras de l’autre et se raconte en 8 ans. Jusqu’à ce que fatigue s’en suive et qu’elles se séparent en riant aux éclats, tandis que se déroule la suite du programme.
En effet, entre plusieurs blagues et histoires drôles d’Adama Dahico, avec la complicité de Boncana, la bouillante camerounaise Queen Etémé, la remarquable Star Tonnerre ivoirienne Bamba Amy Sarrah, la bête de scène guinéenne Kamaldine, le talentueux Soumaïla Kanouté du Mali et ses compatriotes et solide Adja Soumano, ainsi que le défilé de mode de Maïmour Art et Style, donnent à leur tour du rythme à la soirée.
Cette belle rencontre glamour qui se termine par un bal populaire avec des plages de salsa, de coupé-décalé et de musique mandingue. Et qui obligent «les grands» à faire montre de leur savoir-faire en matière de danse. Tous genres confondus.
Schadé Adédé Envoyé spécial
Bravant l’harmattan, on s’est réveillé tôt ce matin du mercredi 31 décembre 2008 sous la paillote circulaire d’Azalaï Grand Hôtel du quartier Darsalam de Bamako. Dans quelques heures, l’espace va abriter la «Grande nuit de la Saint Sylvestre à Bamako», un diner-gala Very important person (VIP) que renouvelle depuis 2004, dans la capitale malienne, le perfectionniste musicien-arrangeur, Boncana Maïga dit Maestro. Alors, on met la dernière main à la pâte. Techniciens, décorateurs, préparateurs des tables du buffet sont à pied d’oeuvre sous la houlette de Boncana. Au four et au moulin, l’organisateur en chef du gala ne veut voir aucun ratage.
“J’ai besoin que vous me communiquiez dans l’ordre les deux titres que va jouer Miss Delon”, lance-t-il à l’endroit du staff de l’artiste, entre des va-et-vient incessants, entre la paillote et le hall de l’hôtel. Sans tarder, l’équipe managériale de Miss Delon s’exécute. C’est d’abord “Bacan” (CD 3) puis “S’unir” (CD 11) qui lui sont communiqués pour la console technique. Il s’agit en fait de deux chansons respectivement rumba et zouk extraites de son nouvel et séduisant album “Hosanna” déjà disponible en France.
En passant par la piscine
Il est bientôt 16h. Alors que les préparatifs se poursuivent sous la paillote et que les choses prennent progressivement forme, Miss Delon est à la piscine de l’hôtel avec sa fillette, sous l’œil vigilant de sa dame de chambre, Christelle N’Goran. Lorsqu’elle met fin à sa nage de mise en forme, vers 18 h, la sono vient d’être rodée… tout est fin prêt.
Peu après 21 h, les premiers convives s’installent. Au bout de trois quarts d’heure, la paillote est prise d’assaut. La soirée peut commencer. Et c’est l’humoriste ivoirien Adama Dahico qui transmet la nouvelle. Il donne lui-même le ton en exécutant, en lever de rideau, un de ses titres avant d’entrer dans sa peau de principal présentateur de la soirée, appuyé par Boncana Maïga. Il appelle successivement Batoma Kouyaté, Zouzou, Baba Salah pour un premier groupe de chanteurs maliens qui chauffent la salle..
La grande Miss se déhanche, sensuelle, majestueuse.
C’est bientôt le tour de Miss Delon d’entrer en scène et de marquer, comme en 2006, le réveillon de la Saint Sylvestre à Bamako. Dahico l’annonce en grande pompe. La chanteuse sort des loges, avance sur le podium et lance un regard circulaire sur le public. Elle est sanglée dans une superbe robe de soirée de couleur jaune. La grande Miss Delon se déhanche, sensuelle, majestueuse. La diva arrache tout de suite les regards du public VIP vers son plastique qui fit mouche, lors de l’élection Miss Côte d’Ivoire 2000 qu’elle enleva brillamment avant de se lancer dans la chanson. «Bacan». C’est sur ce bel air de rumba langoureux comme le veut la tradition, que Miss Delon commence son exercice de double séduction. Elle persuade en enchaînant avec «S’unir». Excellent. C’est du zouk qui ne laisse personne indifférent, avec un message d’amour auquel presque tous adhèrent. Mission accomplie pour Miss Delon qui se retire sous des ovations nourries du public (la tradition veut que les Maliens applaudissent à la fin de toute prestation) et laisse la place aux autres invités de la soirée.
Chacune se jette dans les bras de l’autre et se raconte…
Dans les loges, la chanteuse ivoirienne est surprise par les félicitations de la Malienne Bibata Cissé, Miss Mali, Miss CEDEAO 2000, qui surgit du public. On assiste alors à un indescriptible grand moment de retrouvailles – 8 années après – entre ces deux figures inoubliables de la beauté africaine. Sur fond de délire, chacune se jette dans les bras de l’autre et se raconte en 8 ans. Jusqu’à ce que fatigue s’en suive et qu’elles se séparent en riant aux éclats, tandis que se déroule la suite du programme.
En effet, entre plusieurs blagues et histoires drôles d’Adama Dahico, avec la complicité de Boncana, la bouillante camerounaise Queen Etémé, la remarquable Star Tonnerre ivoirienne Bamba Amy Sarrah, la bête de scène guinéenne Kamaldine, le talentueux Soumaïla Kanouté du Mali et ses compatriotes et solide Adja Soumano, ainsi que le défilé de mode de Maïmour Art et Style, donnent à leur tour du rythme à la soirée.
Cette belle rencontre glamour qui se termine par un bal populaire avec des plages de salsa, de coupé-décalé et de musique mandingue. Et qui obligent «les grands» à faire montre de leur savoir-faire en matière de danse. Tous genres confondus.
Schadé Adédé Envoyé spécial
