"La grande nuit de la Saint Sylvestre à Bamako" est conçue et réalisée par la société Maestro Sound-Mali, avec à sa tête le célèbre musicien-arrangeur malien Boncana Maïga, en partenariat avec le groupe hôtelier Azalaï.
L'obdjectif de ce rendez-vous, si l’on en croit Boncana Maïga, est de retenir les gens à Bamako toutes les fin d’année. «J'ai constaté qu'un espace pareil manquait à Bamako. En effet, tous les 31 décembre précédents, on s'ennuyait ici, je voyais des gens de la jet society se ruer vers à Abidjan, Dakar ou à Ouaga, en vue de s'éclater. Je me suis alors demandé pourquoi pas ici aussi. C'est comme ça que j'ai mis la barre haut en créant ce plateau VIP en 2004. Ainsi depuis cette date, hauts cadres du Mali, fonctionnaires internationaux, diplomates et bien d'autres, vivent leur Saint Sylvestre sur place», se réjouit Boncana.
Pour l’édition 2008 qui vient de s’achever, le Malien est dans l’ensemble satisfait : «Le spectacle était beau et les gens sont venus nombreux à mon invitation. L’année prochaine, nous allons nous atteler à parfaire les choses pour faire de ce gala de fin d’année un rendez-vous, une institution indéracinable.»
Désormais à cheval sur le Mali et la France depuis 2005, El Maestro explique que le temps est arrivé pour lui de partager ses nombreuses expériences acquises en Côte d'Ivoire, en France et en Amérique. En outre, l’homme qui passa 25 années de sa vie en Côte d’Ivoire clame son ambitionne d'aider les jeunes musiciens africains à trouver le bon chemin pour une carrière professionnelle flamboyante. "Exactement ce que j'avais fait en Côte d'Ivoire avec les Aïcha Koné, Nayanka Bell et bien d'autres qui sont devenues aujourd'hui des artistes à part entière, alors que je dirigeai l’Orchestre de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (ORTI) ", se souvient une des icônes de la musique africaine.
S.A.
L'obdjectif de ce rendez-vous, si l’on en croit Boncana Maïga, est de retenir les gens à Bamako toutes les fin d’année. «J'ai constaté qu'un espace pareil manquait à Bamako. En effet, tous les 31 décembre précédents, on s'ennuyait ici, je voyais des gens de la jet society se ruer vers à Abidjan, Dakar ou à Ouaga, en vue de s'éclater. Je me suis alors demandé pourquoi pas ici aussi. C'est comme ça que j'ai mis la barre haut en créant ce plateau VIP en 2004. Ainsi depuis cette date, hauts cadres du Mali, fonctionnaires internationaux, diplomates et bien d'autres, vivent leur Saint Sylvestre sur place», se réjouit Boncana.
Pour l’édition 2008 qui vient de s’achever, le Malien est dans l’ensemble satisfait : «Le spectacle était beau et les gens sont venus nombreux à mon invitation. L’année prochaine, nous allons nous atteler à parfaire les choses pour faire de ce gala de fin d’année un rendez-vous, une institution indéracinable.»
Désormais à cheval sur le Mali et la France depuis 2005, El Maestro explique que le temps est arrivé pour lui de partager ses nombreuses expériences acquises en Côte d'Ivoire, en France et en Amérique. En outre, l’homme qui passa 25 années de sa vie en Côte d’Ivoire clame son ambitionne d'aider les jeunes musiciens africains à trouver le bon chemin pour une carrière professionnelle flamboyante. "Exactement ce que j'avais fait en Côte d'Ivoire avec les Aïcha Koné, Nayanka Bell et bien d'autres qui sont devenues aujourd'hui des artistes à part entière, alors que je dirigeai l’Orchestre de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (ORTI) ", se souvient une des icônes de la musique africaine.
S.A.