La nouvelle vie du vieux de Ménékré

L’accueil

Je ne sais pas quoi dire devant John Chahin. Sans canari personne ne va jamais avoir nourriture. Il est canari mais je ne sais pas s’il allait refuser toute nourriture. Toi canari, reçois tous les comportements qui s’appellent le nom nourriture. Mais, quand même, reconnaître le promier enfant sortir dans le maman, et qui sont les jumeaux, parce qu’elle tire la première, elle tire la deuxième. Mais quand même, ça dépend le comportement parmi les deux. Mais tu m’as vu, il y a longtemps j’ai entendu votre nom que vous êtes auprès de moi.

Que devient Dr Vis-à-vis ?

Tu m’as bien demandé, je vous remercie. Tu sais, actuellement, j’ai besoin le monde entier, dans le camp que le monde a besoin de moi. Je suis là, rien ne me fait pas mal que mon oreille seulement, mais je vais au champ. Aujourd’hui là, si tu m’as vu que je suis là, je suis mangé, je fais mon champ. Dieu n’a qu’à être au secours du monde entier.

John Chahin

John Chahin, c’est un homme que on doit le dire, aide. C’est une aide du monde. Je le remercie. Que ça soit femme et garçon qui ira contre de sa vie, je les ai confié à Dieu. Je lui remercie. Egalement vous qui a pris décision, venu me rejoint dans mon foyer dans le village de Ménékré, je vous remercie. C’est moi qui vous ai dit, tu m’aimes je t’aime. La personne qui me cherche, je dois le chercher. Je vous remercie. Dieu n’a qu’à vous donner longue vie comme tout autre.

Mon fils Gbagbo

Mon fils Gbagbo, je lui ai dit mille fois qu’on n’achète jamais frère. Ménékré qui est là, s’il était comme il m’a appelé, je vais lui dire comment le père de son père s’appelle Zèpè. Le jour de mon présentation dans la maison de Foufoué là, je lui a dit, je dis on achète jamais frère. Il est mon frère et je sais à qui il est. Et personne ne pourra jamais connaître comment je dis ces mots qu’il est mon frère. Je connais le papa de son papa, c’est un militaire.

Le papa de son papa

Tous ses documents est là aujourd’hui. Mais j’ai besoin mon fils, de lui dire ton secours de ma vie et village de Ménékré. Le bien ne perdu jamais. Le bien, c’est une canne que quelqu’un doit considérer comme un troisième pied du monde entier.

La guerre

Je pardonne le monde entier. Tu sais, le trace qui est là (il montre une cicatrice sur son bras gauche) c’est aux yeux de Gbagbo, commencement de son histoire là, c’est au temps d’Opadjèrè. Ce sont les gens qui m’ont attaché. Et aux yeux de Gbagbo, j’ai fait la guerre avec lance-pierre à Gagnoa. Et Dieu m’a confié Gbagbo aujourd’hui. Je pardonne le monde entier. Alors je salue Gbagbo avec sa femme et ses enfants. Je salue tous ses camarades, tous ses surveillants.

Clôturer la Côte-d’Ivoire

Si tu vois que la guerre est venue au pays, c’est que la Côte-d’Ivoire n’est pas clôturée. Je dis à Gbagbo, mets la clôture dans le monde, à Abidjan et en Côte-d’Ivoire. Il m’a compris, aujourd’hui il y a des clôtures, alors je salue le monde, je salue mon fils Gbagbo.

Femme s’en fout de millions

Tous mes médicaments sont dans ma maison. Mon petit, dans le monde, femme s’en fout de tes millions. La nuit, si tu ne l’approches pas, elle s’en fout de tes millions. Et au finiment tu vas gâter son nom, « ma femme sort ». Pourquoi ta femme sort, c’est que ta p... est morte. C’est ce que je ne veux pas (il se lève et tape sa poitrine). Où je suis actuellement, ça me fait cent troisième année sur la terre, mais il n’y a jamais une femme qui va me dire « tu m’as appelé, y a quoi ? », non, j’ai tous les remèdes.