L’Ong Aihua “Soleil“ veut aider les populations villageoises du département de Daloa à se prendre en charge à travers son projet pilote «village de Côte d’Ivoire, agent du développement durable». Ce projet qui prend en compte les 126 villages du département a été présenté récemment au siège du conseil général de Daloa à Abidjan et comprend cinq étapes. Notamment la formation des populations, l’identification des projets, la sélection des projets, l’exécution et le suivi. Après trois années d’intenses activités sur le terrain, notamment à l’intérieur du pays, Aihua a compris que le rêve de voir la Côte d’Ivoire devenir une nation libre et développée passe nécessairement par l’éducation des populations en partant des campagnes, des villages.
Pour la présidente de l’Ong, Légré Yolande, il s’agit d’apporter une réponse appropriée à la détresse des populations qui s’est accentuée avec la crise. A travers ce projet d’approche participative, l’objectif est que les villageois eux-mêmes participent à leur développement à travers la formation qu’ils auront reçue. «Nous voulons faire un inventaire des différents problèmes que rencontrent les villageois en vue de ficeler leurs projets. Cela n’est possible que par la confection d’une base de données. Nous envisageons de former les jeunes gens déscolarisés des villages à la gestion de leur activité et à la recherche de financement», a-t-elle expliqué. Toujours selon Mme Légré, la lutte contre la pauvreté et la création d’activités génératrices de revenus sont devenues la panacée et des financements de projet tous azimuts au bénéfice des femmes.
Djè Abel
Pour la présidente de l’Ong, Légré Yolande, il s’agit d’apporter une réponse appropriée à la détresse des populations qui s’est accentuée avec la crise. A travers ce projet d’approche participative, l’objectif est que les villageois eux-mêmes participent à leur développement à travers la formation qu’ils auront reçue. «Nous voulons faire un inventaire des différents problèmes que rencontrent les villageois en vue de ficeler leurs projets. Cela n’est possible que par la confection d’une base de données. Nous envisageons de former les jeunes gens déscolarisés des villages à la gestion de leur activité et à la recherche de financement», a-t-elle expliqué. Toujours selon Mme Légré, la lutte contre la pauvreté et la création d’activités génératrices de revenus sont devenues la panacée et des financements de projet tous azimuts au bénéfice des femmes.
Djè Abel
