Rémi Coulibaly
(Journaliste culturel Frat-Mat)
« La piraterie est un fléau né du développement des outils multimédias et NTIC. Il concerne essentiellement les artistes qui ont un succès relatif. Car l’on ne peut pirater les œuvres d’un artiste qui n’accroche pas. Le phénomène est mondial, et proposer une solution du cadre juridique et réglementaire, ne peut être circonscrit à un pays. D’autant plus que le téléchargement via Internet est venu compliquer la situation.
C’est pourquoi nous invitons les artistes à maximiser et optimiser leurs réseaux pour être référencés dans les festivals et tournées internationales. Il faut cependant noter qu’eux-mêmes sont victimes de leur propension à vouloir faire écouter leurs œuvres à des tiers avant leurs sorties officielles.
En outre, les arrangeurs et techniciens de studio y contribuent.
Il faudrait par ailleurs, que la législation soit des plus répressives et que des pirates soient condamnés à titre exemplaire pour dissuader les autres.
Au-delà et en définitive, nous invitons les pouvoirs publics à exonérer les intrants de la production audiovisuelle afin que les coûts d’acquisition des supports (CD et DVD) soient les plus bas. »
(Journaliste culturel Frat-Mat)
« La piraterie est un fléau né du développement des outils multimédias et NTIC. Il concerne essentiellement les artistes qui ont un succès relatif. Car l’on ne peut pirater les œuvres d’un artiste qui n’accroche pas. Le phénomène est mondial, et proposer une solution du cadre juridique et réglementaire, ne peut être circonscrit à un pays. D’autant plus que le téléchargement via Internet est venu compliquer la situation.
C’est pourquoi nous invitons les artistes à maximiser et optimiser leurs réseaux pour être référencés dans les festivals et tournées internationales. Il faut cependant noter qu’eux-mêmes sont victimes de leur propension à vouloir faire écouter leurs œuvres à des tiers avant leurs sorties officielles.
En outre, les arrangeurs et techniciens de studio y contribuent.
Il faudrait par ailleurs, que la législation soit des plus répressives et que des pirates soient condamnés à titre exemplaire pour dissuader les autres.
Au-delà et en définitive, nous invitons les pouvoirs publics à exonérer les intrants de la production audiovisuelle afin que les coûts d’acquisition des supports (CD et DVD) soient les plus bas. »