Moutar Kouadio, membre du bureau de la fédération FPI de Koun-Fao chargé de l'encadrement des structures de base de la Sous-Préfecture de Kouassi Datékro fait le bilan de ses actions tout en démontrant que le peuple Agni Bini n'est pas la tribu assiégée du PDCI et du MFA.
Notre Voie: Comment se porte le FPI dans la sous-préfecture de Kouassi Datékro depuis que le secrétaire fédéral vous a confié les charges d'encadrement des structures de base de cette partie du département de Koun-Fao.
Moutar Kouadio : le Front Populaire Ivoirien se porte bien. C'est vrai, le parti était dans une léthargie totale. Notre parti n'était pas implanté suffisamment à Kouassi Datékro. Depuis l'élection de M. Kouassi Kremé à la tête de la fédération du FPI à Koun Fao, il nous a donné la mission essentielle d'implanter ce parti dans notre sous-préfecture en particulier et en général dans le département de Koun Fao. Ainsi de 7 sections que comptait notre sous-préfecture, nous sommes aujourd'hui à 14 sections. Il y a deux autres qui sont sur le point d'être créées. Nous pensons que le FPI est en train d'être mieux implanté .
Nous avons réussi un grand coup en faisant élire un militant du FPI en la personne de M. Gbity Jean Bédel à la tête de la Commission Electorale Indépendante (CEl) locale. Toute chose impensable et irréalisable à Kouassi Datékro, il y a quelques années. Cette victoire secoue psychologiquement et dérange beaucoup nos adversaires politiques. Nous osons espérer que l'horizon sera meilleur pour le FPI à Kouassi Datékro si d'aventure le direction du parti nous appui. Nous sommes convaincus qu'il y aura des surprises aux prochaines élections chez nous. Et nous pouvons dire que le peuple Agni Bini n'est pas la tribu assiégée du PDCI. Nous allons faire de Kouassi Datékro le bastillon du FPI et cela est possible.
N.V: Quelles difficultés rencontrez-vous sur le terrain ?
M.K : Les difficultés sont avant tout relatives aux liens établis par le PDCI avec les populations. Il faut l'avouer, les populations de Kouassi Datékro sont attachées foncièrement au PDCI. Même si le MFA d'Anaky Kobenan a pu remporter les législatives, nos parents sont encore conservateurs et nostalgiques. Notre travail est de faire en sorte qu'ils s'affranchissent en comprenant que le PDCI, c'est le passé. Et que seul Laurent Gbagbo a des ambitions concrètes pour les Ivoiriens. La deuxième difficulté est d'ordre matériel. A Kouassi-Datékro, le FPI a été soutenu toujours par les étudiants. Souvenez vous qu'aux élections de 2000, le candidat malheureux était un étudiant. Il est évident qu'un étudiant sans moyens ne peut pas être élus. Nous pensons que la venue de la Première Dame, Mme Simone Gbagbo à Kouassi Datékro en 2005 a été beaucoup appréciée par nos parents. Et depuis les choses bougent favorablement pour le FPI. Les parents sont en train de comprendre et nous leur demandons d'amorcer la nouvelle Côte d'Ivoire avec le FPI et Laurent Gbagbo.
N.V: Quelles sont les chances de Laurent Gbagbo dans la Sous-Préfecture de Kouassi Datékro à la prochaine présidentielle ?
M.K : Les chances de notre candidat Laurent Gbagbo sont énormes vu certains actes qu'il a posés. Notamment l'érection du village de Bouahia en chef lieu de Sous-Préfecture et certaines localités en communes. Il vient encore d'offrir une ambulance flambant neuve à nos parents de Kouassi Datékro. C'est-à-dire à tout le peuple bini. C'est vrai nous voulons que notre sous-préfecture soit érigée en chef lieu de département. C'est un souhait plein d'espoirs. Anaky Kobenan n'est plus en harmonie avec nos parents tellement ils sont déçus de lui vu son attitude durant la crise.
N.V: Comment qualifiez-vous les menaces proférées contre le président local de la CEl M. Gbity Jean Bédel qui est l'un des vos camarades du FPI ?
M.K : Ces actes sont contraires à la démocratie. Ils tuent la démocratie. Parce que notre candidat a été élu, il faut le menacer! Vraiment, nos adversaires politiques sont tombés très bas. Il faut respecter cette victoire et l'accepter comme telle. Nous disons que ces menaces démontrent que le PDCI et le MF A sont aux abois et déboussolés parce qu'ils pensent ne plus maîtriser le peuple Agni Bini qui ne veut plus se laisser intoxiquer. Et il nous appartient de capitaliser cette prise de conscience. C'est le lieu demander aux directeurs locaux de campagnes de Laurent Gbagbo dans notre département de Koun Fao d'être présents sur le terrain. Nous ne les sentons pas.
Pour cela nous souhaitons que notre Directeur départemental de campagne de Laurent Gbagbo à Tanda et Koun Fao M. Augustin Kouadio Komoé puisse les galvaniser et les remobiliser. Aux populations, nous demandons de voter Laurent Gbagbo parce que c'est lui qui a le meilleur programme de société pour les Ivoiriens.
Interview réalisée par Jean Goudalé
Notre Voie: Comment se porte le FPI dans la sous-préfecture de Kouassi Datékro depuis que le secrétaire fédéral vous a confié les charges d'encadrement des structures de base de cette partie du département de Koun-Fao.
Moutar Kouadio : le Front Populaire Ivoirien se porte bien. C'est vrai, le parti était dans une léthargie totale. Notre parti n'était pas implanté suffisamment à Kouassi Datékro. Depuis l'élection de M. Kouassi Kremé à la tête de la fédération du FPI à Koun Fao, il nous a donné la mission essentielle d'implanter ce parti dans notre sous-préfecture en particulier et en général dans le département de Koun Fao. Ainsi de 7 sections que comptait notre sous-préfecture, nous sommes aujourd'hui à 14 sections. Il y a deux autres qui sont sur le point d'être créées. Nous pensons que le FPI est en train d'être mieux implanté .
Nous avons réussi un grand coup en faisant élire un militant du FPI en la personne de M. Gbity Jean Bédel à la tête de la Commission Electorale Indépendante (CEl) locale. Toute chose impensable et irréalisable à Kouassi Datékro, il y a quelques années. Cette victoire secoue psychologiquement et dérange beaucoup nos adversaires politiques. Nous osons espérer que l'horizon sera meilleur pour le FPI à Kouassi Datékro si d'aventure le direction du parti nous appui. Nous sommes convaincus qu'il y aura des surprises aux prochaines élections chez nous. Et nous pouvons dire que le peuple Agni Bini n'est pas la tribu assiégée du PDCI. Nous allons faire de Kouassi Datékro le bastillon du FPI et cela est possible.
N.V: Quelles difficultés rencontrez-vous sur le terrain ?
M.K : Les difficultés sont avant tout relatives aux liens établis par le PDCI avec les populations. Il faut l'avouer, les populations de Kouassi Datékro sont attachées foncièrement au PDCI. Même si le MFA d'Anaky Kobenan a pu remporter les législatives, nos parents sont encore conservateurs et nostalgiques. Notre travail est de faire en sorte qu'ils s'affranchissent en comprenant que le PDCI, c'est le passé. Et que seul Laurent Gbagbo a des ambitions concrètes pour les Ivoiriens. La deuxième difficulté est d'ordre matériel. A Kouassi-Datékro, le FPI a été soutenu toujours par les étudiants. Souvenez vous qu'aux élections de 2000, le candidat malheureux était un étudiant. Il est évident qu'un étudiant sans moyens ne peut pas être élus. Nous pensons que la venue de la Première Dame, Mme Simone Gbagbo à Kouassi Datékro en 2005 a été beaucoup appréciée par nos parents. Et depuis les choses bougent favorablement pour le FPI. Les parents sont en train de comprendre et nous leur demandons d'amorcer la nouvelle Côte d'Ivoire avec le FPI et Laurent Gbagbo.
N.V: Quelles sont les chances de Laurent Gbagbo dans la Sous-Préfecture de Kouassi Datékro à la prochaine présidentielle ?
M.K : Les chances de notre candidat Laurent Gbagbo sont énormes vu certains actes qu'il a posés. Notamment l'érection du village de Bouahia en chef lieu de Sous-Préfecture et certaines localités en communes. Il vient encore d'offrir une ambulance flambant neuve à nos parents de Kouassi Datékro. C'est-à-dire à tout le peuple bini. C'est vrai nous voulons que notre sous-préfecture soit érigée en chef lieu de département. C'est un souhait plein d'espoirs. Anaky Kobenan n'est plus en harmonie avec nos parents tellement ils sont déçus de lui vu son attitude durant la crise.
N.V: Comment qualifiez-vous les menaces proférées contre le président local de la CEl M. Gbity Jean Bédel qui est l'un des vos camarades du FPI ?
M.K : Ces actes sont contraires à la démocratie. Ils tuent la démocratie. Parce que notre candidat a été élu, il faut le menacer! Vraiment, nos adversaires politiques sont tombés très bas. Il faut respecter cette victoire et l'accepter comme telle. Nous disons que ces menaces démontrent que le PDCI et le MF A sont aux abois et déboussolés parce qu'ils pensent ne plus maîtriser le peuple Agni Bini qui ne veut plus se laisser intoxiquer. Et il nous appartient de capitaliser cette prise de conscience. C'est le lieu demander aux directeurs locaux de campagnes de Laurent Gbagbo dans notre département de Koun Fao d'être présents sur le terrain. Nous ne les sentons pas.
Pour cela nous souhaitons que notre Directeur départemental de campagne de Laurent Gbagbo à Tanda et Koun Fao M. Augustin Kouadio Komoé puisse les galvaniser et les remobiliser. Aux populations, nous demandons de voter Laurent Gbagbo parce que c'est lui qui a le meilleur programme de société pour les Ivoiriens.
Interview réalisée par Jean Goudalé
