Accidents de la route, noyades, brûlures, suffocations, chutes… Chaque jour dans le monde, plus de 2 000 enfants meurent d’un traumatisme. Principalement dans les pays pauvres. Or selon un rapport conjoint OMS/UNICEF rendu public récemment, des mesures relativement simples permettraient de réduire de moitié le nombre de ces victimes.
Pour la première fois, le Rapport sur la prévention des traumatismes chez l’enfant établit un bilan mondial des traumatismes (volontaires ou accidentels) qui touchent nos enfants. Fruit de la collaboration de plus de 180 experts de toutes régions, ce document de 232 pages révèle que les traumatismes involontaires constituent la principale cause de décès d’enfants après l’âge de 9 ans, avec 830 000 morts par an. Et dans 95% des cas, ces traumatismes se produisent dans les pays en développement.
Comme trop souvent, l’Afrique est touchée de plein fouet. Ainsi la mortalité en bas âge ou par mort violente y est-elle 10 fois plus fréquente qu’en Europe. Or il existe des moyens éprouvés pour éviter ces tragédies : le port obligatoire de la ceinture de sécurité et du casque ; la mise en place de fermetures sécurisées pour les flacons de médicaments et les récipients de produits dangereux... Sans oublier naturellement, l’aménagement de voies dédiées aux vélos et motocyclettes…
Si ces mesures étaient mises en œuvre, au moins 1 000 vies pourraient être épargnées chaque jour assurent les auteurs du rapport.
www.destinationsante.com
Pour la première fois, le Rapport sur la prévention des traumatismes chez l’enfant établit un bilan mondial des traumatismes (volontaires ou accidentels) qui touchent nos enfants. Fruit de la collaboration de plus de 180 experts de toutes régions, ce document de 232 pages révèle que les traumatismes involontaires constituent la principale cause de décès d’enfants après l’âge de 9 ans, avec 830 000 morts par an. Et dans 95% des cas, ces traumatismes se produisent dans les pays en développement.
Comme trop souvent, l’Afrique est touchée de plein fouet. Ainsi la mortalité en bas âge ou par mort violente y est-elle 10 fois plus fréquente qu’en Europe. Or il existe des moyens éprouvés pour éviter ces tragédies : le port obligatoire de la ceinture de sécurité et du casque ; la mise en place de fermetures sécurisées pour les flacons de médicaments et les récipients de produits dangereux... Sans oublier naturellement, l’aménagement de voies dédiées aux vélos et motocyclettes…
Si ces mesures étaient mises en œuvre, au moins 1 000 vies pourraient être épargnées chaque jour assurent les auteurs du rapport.
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