Il était 12h 05 mn à Washington, 17h 05 mn GMT, ce mardi 20 janvier 2009, lorsque Barack Hussein Obama, 44ème président américain, le premier président afro-américain des Etats-Unis, prêtait serment. “Moi Barack Hussein Obama, je jure solennellement de remplir fidèlement les fonctions de président des Etats-Unis, et, dans toute la mesure de mes moyens, de sauvegarder, protéger la constitution des Etats-Unis” a-t-il déclaré, sous les ovations d’une foule nombreuse, estimée à 2 millions de personnes. La prophétie du Révérend King, d’une nation multiraciale, venait à cet instant précis, de s’accomplir, après 40 ans. Moment historique, moment mémorable, moment chargé de symboles… L’événement a été vécu par plusieurs centaines de millions de téléspectateurs à travers la planète. Comme le 4 novembre 2008, le monde a vécu, des instants de ce que certains, ont fini par appelé la fièvre obamania.
Le nouveau président américain qui se présente comme un homme de rupture par rapport à son prédécesseur a indiqué que le monde a changé, et que l’Amérique se doit de changer avec lui. Aussi bien dans le ton, que dans le contenu de son discours, Barack Obama a montré qu’il était conscient de la tâche à la fois exaltante et délicate qui l’attend. Aussi a-t-il appelé les Américains à se mettre ensemble pour relever les défis. “Le temps où nous résistions au changement, où nous protégions des intérêts étriqués et repoussions les décisions déplaisantes, ce temps est assurément fini”, a-t-il affirmé.
Le 44ème président des Etats-Unis a invité ses concitoyens à “refaire l’Amérique”. “Aujourd’hui, je vous dis que les défis auxquels nous sommes confrontés sont réels. Ils sont graves et ils sont nombreux. Ils ne seront pas relevés facilement ou dans une courte période de temps. Mais sache-le, ils seront relevés”, a-t-il promis.
Le président Obama a dit à l’endroit du monde musulman que l’Amérique est prête à discuter avec tous les Etats qui le désirent : “Nous cherchons une nouvelle façon d’avancer fondée sur notre intérêt mutuel”.
Le successeur de Georges W. Bush a soutenu également qu’il est prêt à travailler pour l’amélioration de la situation des pays pauvres : “Aux dirigeants à travers le monde qui cherchent à semer les conflits, ou imputent les mots de leur société à l’Occident : sachez que votre peuple vous jugera sur ce que vous pouvez construire, et non sur ce que vous détruisez. A ceux qui s’accrochent au pouvoir par la corruption, la tromperie et en réduisant la contestation au silence, sachez que vous êtes du mauvais côté de l’histoire. Mais que nous tendrons la main si vous desserrez votre poing”.
Georges W. Bush, le président sortant a fait ses adieux à la Maison Blanche, où il a passé huit années, c’est-à-dire, deux mandats.
A partir de maintenant, une nouvelle étape commence pour Barack Obama. Après avoir été brillamment par le peuple américain, il s’agit pour lui de réaliser le rêve américain.
César Ebrokié Reportage sur i Télé
Le nouveau président américain qui se présente comme un homme de rupture par rapport à son prédécesseur a indiqué que le monde a changé, et que l’Amérique se doit de changer avec lui. Aussi bien dans le ton, que dans le contenu de son discours, Barack Obama a montré qu’il était conscient de la tâche à la fois exaltante et délicate qui l’attend. Aussi a-t-il appelé les Américains à se mettre ensemble pour relever les défis. “Le temps où nous résistions au changement, où nous protégions des intérêts étriqués et repoussions les décisions déplaisantes, ce temps est assurément fini”, a-t-il affirmé.
Le 44ème président des Etats-Unis a invité ses concitoyens à “refaire l’Amérique”. “Aujourd’hui, je vous dis que les défis auxquels nous sommes confrontés sont réels. Ils sont graves et ils sont nombreux. Ils ne seront pas relevés facilement ou dans une courte période de temps. Mais sache-le, ils seront relevés”, a-t-il promis.
Le président Obama a dit à l’endroit du monde musulman que l’Amérique est prête à discuter avec tous les Etats qui le désirent : “Nous cherchons une nouvelle façon d’avancer fondée sur notre intérêt mutuel”.
Le successeur de Georges W. Bush a soutenu également qu’il est prêt à travailler pour l’amélioration de la situation des pays pauvres : “Aux dirigeants à travers le monde qui cherchent à semer les conflits, ou imputent les mots de leur société à l’Occident : sachez que votre peuple vous jugera sur ce que vous pouvez construire, et non sur ce que vous détruisez. A ceux qui s’accrochent au pouvoir par la corruption, la tromperie et en réduisant la contestation au silence, sachez que vous êtes du mauvais côté de l’histoire. Mais que nous tendrons la main si vous desserrez votre poing”.
Georges W. Bush, le président sortant a fait ses adieux à la Maison Blanche, où il a passé huit années, c’est-à-dire, deux mandats.
A partir de maintenant, une nouvelle étape commence pour Barack Obama. Après avoir été brillamment par le peuple américain, il s’agit pour lui de réaliser le rêve américain.
César Ebrokié Reportage sur i Télé