Les dirigeants de la convention de la société civile ivoirienne (CSCI) ont remis officiellement les documents de travail aux institutions et organisations socioprofessionnelles qui prendront part aux journées de consensus national prévues du 16 au 23 mars 2009. La cérémonie de remise a eu lieu le vendredi 16 janvier dernier, à l’école nationale supérieure de statistique et d’économie appliquée en présence des représentants de la présidence de la République et de la primature.
Selon le professeur François N’guessan Kouakou, président honoraire de l’université de Bouaké et président du comité scientifique desdites journées qui a présenté la synthèse des travaux issus des documents techniques, ces journées de consensus national sont organisées
“afin de discuter des visions de la renaissance de la Côte d’Ivoire”. Les échanges et débats devront aboutir à l’identification des dispositifs de réconciliation véritable renforçant les institutions de la République. Selon lui, la situation conflictuelle actuelle du pays est la résultante de plusieurs crises qui sont nées depuis 1919. Les journées de consensus national de mars devront préparer l’ensemble des Ivoiriens à se forger une armature de culture démocratique.
Pour sa part, M. Patrick N’gouan, coordonnateur national de la CSCI, a indiqué que “les réflexions visent à trouver les moyens et les intelligences de porter la Côte d’Ivoire vers le développement”. Pour lui, il est nécessaire que la paix soit préservée après les élections. “Nous voulons renforcer le processus de paix et préparer la paix post- électorale”, a-t-il soutenu. Il a estimé que le futur devra avoir comme feuille de route les résolutions issues des débats pour la conduite de son projet de société.
“Après les conclusions, nous saisirons l’Assemblée nationale pour en faire une loi cadre. Dans ce cas, le futur président travaillera en fonction des conclusions”, a-t-il conclu.
Délon’s Zadé delonszade@yahoo.fr
Selon le professeur François N’guessan Kouakou, président honoraire de l’université de Bouaké et président du comité scientifique desdites journées qui a présenté la synthèse des travaux issus des documents techniques, ces journées de consensus national sont organisées
“afin de discuter des visions de la renaissance de la Côte d’Ivoire”. Les échanges et débats devront aboutir à l’identification des dispositifs de réconciliation véritable renforçant les institutions de la République. Selon lui, la situation conflictuelle actuelle du pays est la résultante de plusieurs crises qui sont nées depuis 1919. Les journées de consensus national de mars devront préparer l’ensemble des Ivoiriens à se forger une armature de culture démocratique.
Pour sa part, M. Patrick N’gouan, coordonnateur national de la CSCI, a indiqué que “les réflexions visent à trouver les moyens et les intelligences de porter la Côte d’Ivoire vers le développement”. Pour lui, il est nécessaire que la paix soit préservée après les élections. “Nous voulons renforcer le processus de paix et préparer la paix post- électorale”, a-t-il soutenu. Il a estimé que le futur devra avoir comme feuille de route les résolutions issues des débats pour la conduite de son projet de société.
“Après les conclusions, nous saisirons l’Assemblée nationale pour en faire une loi cadre. Dans ce cas, le futur président travaillera en fonction des conclusions”, a-t-il conclu.
Délon’s Zadé delonszade@yahoo.fr
