L’esprit de fête qui caractérise ce genre de cérémonie a été quelque peu terni par le décès d’un officier, le général de brigade Akaffou Julien, commandant des forces terrestres, le lundi 19 janvier, à la Pisam. Le Cema a présenté les «sincères condoléances» de son institution au Président de la République.
«En cette circonstance, je ne peux m’empêcher de penser à notre ami, à notre frère d’armes, à notre camarade de combat et de lutte, Akaffou Julien. Qui est mort il y a quelques jours. C’est vrai que quand des années passent et d’autres viennent, il y a une ombre de malheur sans en connaître l’explication. Mais à la fin des années et au début d’autres années, des gens nous quittent toujours, définitivement. Ce jeune homme avait un avenir prometteur. Il était général de brigade, il commandait l’armée de terre, c’est-à-dire la grande partie de notre armée. Il était donc très important dans notre dispositif sécuritaire et militaire. Il est parti, nous ne pouvons que penser à lui. Et nous, Forces de défense et de sécurité, nous ne pouvons, maintenant, que lui organiser des funérailles dignes. Dignes de son rang, digne des regrets qu’ils nous laisse et digne de la vie que nous lui souhaitons dans l’au-delà». Tels sont les mots du Chef de l’Etat, chef suprême des armées, à l’endroit des Forces de défense et de sécurité de Côte d’Ivoire, qui viennent de perdre un des leurs, un grand serviteur de la nation, le général de brigade Akaffou Julien. En mémoire de l’illustre disparu et tous les frères d’armes qui l’ont précédé, le chef d’état-major des armées, le général de division Philippe Mangou, a demandé une minute de silence dès l’entame de son allocution.
Paulin N. Zobo
«En cette circonstance, je ne peux m’empêcher de penser à notre ami, à notre frère d’armes, à notre camarade de combat et de lutte, Akaffou Julien. Qui est mort il y a quelques jours. C’est vrai que quand des années passent et d’autres viennent, il y a une ombre de malheur sans en connaître l’explication. Mais à la fin des années et au début d’autres années, des gens nous quittent toujours, définitivement. Ce jeune homme avait un avenir prometteur. Il était général de brigade, il commandait l’armée de terre, c’est-à-dire la grande partie de notre armée. Il était donc très important dans notre dispositif sécuritaire et militaire. Il est parti, nous ne pouvons que penser à lui. Et nous, Forces de défense et de sécurité, nous ne pouvons, maintenant, que lui organiser des funérailles dignes. Dignes de son rang, digne des regrets qu’ils nous laisse et digne de la vie que nous lui souhaitons dans l’au-delà». Tels sont les mots du Chef de l’Etat, chef suprême des armées, à l’endroit des Forces de défense et de sécurité de Côte d’Ivoire, qui viennent de perdre un des leurs, un grand serviteur de la nation, le général de brigade Akaffou Julien. En mémoire de l’illustre disparu et tous les frères d’armes qui l’ont précédé, le chef d’état-major des armées, le général de division Philippe Mangou, a demandé une minute de silence dès l’entame de son allocution.
Paulin N. Zobo