Hors gamme ! Hors sujet ! Les analystes politiques sont unanimes, le général Philippe Mangou, chef d’état-major des Armées a été mal inspiré dans son intervention devant le chef de l’Etat, chef suprême des Armées, Laurent Gbagbo. Ce fils de pasteur a cru bon de vouloir rappeler ce que tout le monde sait : «Le pouvoir, c’est Dieu qui le donne». Il serait arrêté là que ses compagnons d’église l’auraient applaudi à tout rompre. Mais le CEMA a emprunté la voie des faux –durs, plus ils parlent, moins ils valent. «N’oubliez surtout pas que le pouvoir est de Dieu. Que Dieu donne à qui il veut. Que donc ceux qui espèrent secrètement s’en emparer par la force sachent qu’ils trouveront sur leur chemin le peuple de Côte d’Ivoire, véritable détenteur du pouvoir et particulièrement les Forces de défense et de sécurité dont la mission première est la défense des institutions de la République, de ceux qui l’incarnent et l’ordre public.», déclare6t-il à l’attention de l’opposition.
«Mon général, que feriez si vos maîtres d’aujourd’hui envers et contre tout décidaient de confisquer le pouvoir?».C’est consciemment que le CEMA a refusé de soumettre son raisonnement au feu de la dialectique.
Faut-il rappeler à notre cher général que Laurent Gbagbo n’a pas attendu que ni Dieu ni la loi ne lui donne le pouvoir avant de s’EN emparer. Alors qu’un contentieux électoral le liait au général Guéï Robert, Gbagbo, contre la loi électorale, a couru pour aller s’autoproclamer, Président de la République. Là où la loi demande à la Cour suprême de vider le contentieux électoral. Pour plaire à Laurent Gbagbo, Philippe Mangou a besoin de montrer au fils de Koudou Paul qu’il déteste vraiment ses adversaires. Qu’il a encore de la masculinité, de la contenance bien que lui même ne soit pas convaincu. Devenu coutumier du zèle (inutile), Philippe Mangou a peur de sa propre ombre. Ses jours à la tête de l’état-major des Armées sont comptés. Dans l’anti-chambre attend impatiemment le Colonel-Major Dogbo Blé, commandant de la Garde républicaine. La nouvelle Armée républicaine approche à grands pas. Et il est indéniable qu’après la résurrection de notre outil de défense, le commandement va connaître un profond réaménagement. Ni Philippe Mangou, ni Bakayoko Soumaïla (Cema FAFN) ne conduiront les destinées de la nouvelle Armée. Leur contentieux avec la troupe pour le premier, et le passé de chef de guerre pour le second les disqualifient. Mais quand on a goûté aux délices du pouvoir, il est bien difficile de s’éclipser. Pour donner des gages de confiance à Laurent Gbagbo, Philippe Mangou a donc besoin de développer la complotite. Avec elle rime la danse du ventre. On n’est jamais assez rassasié. Or on peut «manger» et rester digne. Pourquoi donc se faire peur? Il rappelle étrangement par moment son père Doué Mathias. Qui, avec une rethorique élégamment ficelée avec sa voix piquante tançait l’opposition. Et le «monumental» ministre de la communication Henri César Dama? Ils ont été….Prions pour le général. Ça sonne faux !
Coulibaly Brahima
«Mon général, que feriez si vos maîtres d’aujourd’hui envers et contre tout décidaient de confisquer le pouvoir?».C’est consciemment que le CEMA a refusé de soumettre son raisonnement au feu de la dialectique.
Faut-il rappeler à notre cher général que Laurent Gbagbo n’a pas attendu que ni Dieu ni la loi ne lui donne le pouvoir avant de s’EN emparer. Alors qu’un contentieux électoral le liait au général Guéï Robert, Gbagbo, contre la loi électorale, a couru pour aller s’autoproclamer, Président de la République. Là où la loi demande à la Cour suprême de vider le contentieux électoral. Pour plaire à Laurent Gbagbo, Philippe Mangou a besoin de montrer au fils de Koudou Paul qu’il déteste vraiment ses adversaires. Qu’il a encore de la masculinité, de la contenance bien que lui même ne soit pas convaincu. Devenu coutumier du zèle (inutile), Philippe Mangou a peur de sa propre ombre. Ses jours à la tête de l’état-major des Armées sont comptés. Dans l’anti-chambre attend impatiemment le Colonel-Major Dogbo Blé, commandant de la Garde républicaine. La nouvelle Armée républicaine approche à grands pas. Et il est indéniable qu’après la résurrection de notre outil de défense, le commandement va connaître un profond réaménagement. Ni Philippe Mangou, ni Bakayoko Soumaïla (Cema FAFN) ne conduiront les destinées de la nouvelle Armée. Leur contentieux avec la troupe pour le premier, et le passé de chef de guerre pour le second les disqualifient. Mais quand on a goûté aux délices du pouvoir, il est bien difficile de s’éclipser. Pour donner des gages de confiance à Laurent Gbagbo, Philippe Mangou a donc besoin de développer la complotite. Avec elle rime la danse du ventre. On n’est jamais assez rassasié. Or on peut «manger» et rester digne. Pourquoi donc se faire peur? Il rappelle étrangement par moment son père Doué Mathias. Qui, avec une rethorique élégamment ficelée avec sa voix piquante tançait l’opposition. Et le «monumental» ministre de la communication Henri César Dama? Ils ont été….Prions pour le général. Ça sonne faux !
Coulibaly Brahima
