Ouvert aux titulaires du niveau minimum du Bepc, le concours des sous-officiers de la gendarmerie nationale s’est déroulé samedi à Abidjan, Daloa et Yamoussoukro. Les candidats, au nombre de, 12.387, ont composé dans 12 centres d’examen dont 9 pour la seule ville d’Abidjan. Un concours tenu sous la haute supervision du commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le Général de division Edouard Tiapé Kassaraté, et dont la parfaite organisation cette année, a été unanimement saluée par ceux des candidats que nous avons rencontrés juste à la fin des épreuves.
Organisé sous la responsabilité directe du chef de la Section Recrutement chancellerie de la gendarmerie, le capitaine Amessan Vincent, qui a parcouru les centres d’Abidjan, le concours était samedi à sa phase déterminante. A savoir l’épreuve écrite, portant uniquement sur « une dictée ». Sur le déroulement du concours, le capitaine Amessan explique qu’avec comme examinateurs des gendarmes en exercice ou en formation à l’école de gendarmerie, il s’est déroulé avec une panoplie de contrôles pour en garantir la transparence. Ezouah Yves Alain, 23 ans, l’air radieux, venait de terminer l’épreuve au centre William Ponty à Yopougon, quand nous l’avons abordé. « Je me réjouis de ce qu’ici avec les gendarmes, les choses se déroulent dans la transparence. » Avis partagé par le candidat Attoh Ange Hervé 19 ans qui trouve l’épreuve abordable. Quant à Brou Kouassi Herman, il salue la bonne organisation.
Après cette étape, il ne restera plus aux présélectionnés que celle de la visite médicale pour être définitivement admis à l’école de la gendarmerie. Où la formation s’articulera autour des notions comme l’ordre et le civisme. C’est après avoir salué le drapeau national que les candidats ont entamé le concours. A la fin, ils ont été invités par le capitaine Amessan et ses hommes à nettoyer tous les centres d’examen.
Landry Kohon
Organisé sous la responsabilité directe du chef de la Section Recrutement chancellerie de la gendarmerie, le capitaine Amessan Vincent, qui a parcouru les centres d’Abidjan, le concours était samedi à sa phase déterminante. A savoir l’épreuve écrite, portant uniquement sur « une dictée ». Sur le déroulement du concours, le capitaine Amessan explique qu’avec comme examinateurs des gendarmes en exercice ou en formation à l’école de gendarmerie, il s’est déroulé avec une panoplie de contrôles pour en garantir la transparence. Ezouah Yves Alain, 23 ans, l’air radieux, venait de terminer l’épreuve au centre William Ponty à Yopougon, quand nous l’avons abordé. « Je me réjouis de ce qu’ici avec les gendarmes, les choses se déroulent dans la transparence. » Avis partagé par le candidat Attoh Ange Hervé 19 ans qui trouve l’épreuve abordable. Quant à Brou Kouassi Herman, il salue la bonne organisation.
Après cette étape, il ne restera plus aux présélectionnés que celle de la visite médicale pour être définitivement admis à l’école de la gendarmerie. Où la formation s’articulera autour des notions comme l’ordre et le civisme. C’est après avoir salué le drapeau national que les candidats ont entamé le concours. A la fin, ils ont été invités par le capitaine Amessan et ses hommes à nettoyer tous les centres d’examen.
Landry Kohon