L’identification des vraies coopératives en vue de leur financement pérenne constitue l’une des principales recommandations de la journée de réflexion sur le financement des coopératives café-cacao. Ces réflexions se sont déroulées le mercredi 14 janvier dernier, à la Bourse du Travail, à Treichville, à l’initiative de la Renaissance des fédérations agricoles de Côte d’Ivoire (Centrale syndicale) et le Syndicat national des producteurs de café-cacao de Côte d’Ivoire (Synaprocaci).
Les producteurs ont estimé que le nombre pléthorique des coopératives pose un préjudice pour leur financement et que la plupart d’entre elles ne sont pas en mesure de fournir les documents que les banques exigent pour leur faire un prêt. Ils ont par conséquent décidé qu’il faut permettre aux coopératives de maîtriser le système de financement actuel. Les producteurs n’ont pas manqué d’évoquer la nécessité de rapports corrects entre les OPA et le comité de gestion de la filière café-cacao et le comité de sages.
Membre de la cellule économique de la présidence de la République, Ferdinand Bouazo a apprécié l’initiative des planteurs qui veulent contribuer au développement de la filière. Il les a exhortés à faire confiance à l’Observatoire national des producteurs de café et cacao de Côte d’Ivoire (ONPC-CI). “Il ne sert à rien de prendre la rue en cas de revendication. Vous pouvez vous adressez à l’observatoire. Le président Gbagbo aime ce qui se fait dans le droit”, a-t-il dit.
Le président de l’observatoire, Vincent Séa, a déploré le fait que les coopératives ne prennent pas les dispositions nécessaires pour solliciter un prêt. “Je suis disposé à aider les planteurs à quitter la rue”, a-t-il annoncé.
G.E.
Les producteurs ont estimé que le nombre pléthorique des coopératives pose un préjudice pour leur financement et que la plupart d’entre elles ne sont pas en mesure de fournir les documents que les banques exigent pour leur faire un prêt. Ils ont par conséquent décidé qu’il faut permettre aux coopératives de maîtriser le système de financement actuel. Les producteurs n’ont pas manqué d’évoquer la nécessité de rapports corrects entre les OPA et le comité de gestion de la filière café-cacao et le comité de sages.
Membre de la cellule économique de la présidence de la République, Ferdinand Bouazo a apprécié l’initiative des planteurs qui veulent contribuer au développement de la filière. Il les a exhortés à faire confiance à l’Observatoire national des producteurs de café et cacao de Côte d’Ivoire (ONPC-CI). “Il ne sert à rien de prendre la rue en cas de revendication. Vous pouvez vous adressez à l’observatoire. Le président Gbagbo aime ce qui se fait dans le droit”, a-t-il dit.
Le président de l’observatoire, Vincent Séa, a déploré le fait que les coopératives ne prennent pas les dispositions nécessaires pour solliciter un prêt. “Je suis disposé à aider les planteurs à quitter la rue”, a-t-il annoncé.
G.E.
