En mission de prospection en Côte d’Ivoire, “Bretagne international” a rencontré le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, mardi dernier, à l’immeuble Sciam, au Plateau. L’objet de cette rencontre pour le président de cette institution, Bernard Angot, et ses collaborateurs, était de connaître l’environnement économique, juridique et fiscal de la Côte d’Ivoire.
Avant, il a fait savoir que la région de la Bretagne en France est la première région agro-alimentaire d’Europe et elle intervient dans le secteur des NTIC. “Nous avons fait le pari qu’avec notre expérience, il était possible de construire une stratégie solide dans la zone UEMOA. Surtout qu’à travers Bretagne international, nous avons le devoir d’aider nos entreprises à voir vers d’autres horizons pour tisser des coopérations”, a-t-il indiqué. Il a aussi révélé que Bretagne international compte 4000 entreprises qui ont les capacités d’étendre leurs activités dans le monde à travers le transfert de compétence. Dans la zone UEMOA particulièrement, ce sont 23 sociétés issues de trois secteurs que sont la santé, les NTIC et l’agro-alimentaire, qui veulent investir. Enfin, il a annoncé une coopération à long terme.
Cissé Soumaïla, président de la commission de l’UEMOA, dira de son côté que la Côte d’Ivoire est très importante dans le dispositif de la sous-région. C’est pourquoi, a-t-il continué, relancer l’économie de ce pays rejaillira sur toute la zone UEMOA. Pour terminer, il a dit à l’attention de la délégation de Bretagne international que la zone reste ouverte.
Le ministre Diby Koffi a dit en substance : “Cette manière d’envisager la coopération est novatrice”. Il a surtout insisté sur la formation des jeunes. Car, pour lui, la politique budgétaire ayant ses limites, il faut former les entrepreneurs de demain. Il a aussi souhaité qu’il n’y ait pas une économie d’un pays, mais une économie globale de l’Union avec 80 millions de consommateurs. Il a souhaité que d’autres rencontres avec cette institution suivent ainsi que la mise en œuvre des différents engagements.
Koné Modeste
Avant, il a fait savoir que la région de la Bretagne en France est la première région agro-alimentaire d’Europe et elle intervient dans le secteur des NTIC. “Nous avons fait le pari qu’avec notre expérience, il était possible de construire une stratégie solide dans la zone UEMOA. Surtout qu’à travers Bretagne international, nous avons le devoir d’aider nos entreprises à voir vers d’autres horizons pour tisser des coopérations”, a-t-il indiqué. Il a aussi révélé que Bretagne international compte 4000 entreprises qui ont les capacités d’étendre leurs activités dans le monde à travers le transfert de compétence. Dans la zone UEMOA particulièrement, ce sont 23 sociétés issues de trois secteurs que sont la santé, les NTIC et l’agro-alimentaire, qui veulent investir. Enfin, il a annoncé une coopération à long terme.
Cissé Soumaïla, président de la commission de l’UEMOA, dira de son côté que la Côte d’Ivoire est très importante dans le dispositif de la sous-région. C’est pourquoi, a-t-il continué, relancer l’économie de ce pays rejaillira sur toute la zone UEMOA. Pour terminer, il a dit à l’attention de la délégation de Bretagne international que la zone reste ouverte.
Le ministre Diby Koffi a dit en substance : “Cette manière d’envisager la coopération est novatrice”. Il a surtout insisté sur la formation des jeunes. Car, pour lui, la politique budgétaire ayant ses limites, il faut former les entrepreneurs de demain. Il a aussi souhaité qu’il n’y ait pas une économie d’un pays, mais une économie globale de l’Union avec 80 millions de consommateurs. Il a souhaité que d’autres rencontres avec cette institution suivent ainsi que la mise en œuvre des différents engagements.
Koné Modeste
