ABIDJAN - Les autorités ivoiriennes, "inquiètes" de l'invasion de chenilles légionnaires dans des pays voisins, ont dépêché mardi trois experts au Liberia, durement frappé par le phénomène, a annoncé le directeur du Centre national de recherche agronomique (CNRA), Yo Tiémoko.
"Trois chercheurs, dont un représentant du ministère de l'Agriculture, ont quitté Abidjan aujourd'hui (mardi) pour le Liberia voisin où ils devront séjourner une semaine", a indiqué à l'AFP M. Tiémoko.
De retour du Liberia, les experts se rendront aussitôt à Man, principale ville de l'ouest ivoirien frontalier du Liberia, a-t-il souligné, faisant part de l'"inquiétude" des autorités de Côte d'Ivoire devant la présence au Liberia et en Guinée de ces chenilles légionnaires destructrices de cultures.
L'ouest ivoirien est une grande région agricole, productrice en particulier de cacao, principale ressource du pays.
La FAO, l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, qui s'est alarmée de cette "crise alimentaire et environnementale", a annoncé que le Liberia pourrait faire face à une nouvelle vague de chenilles.
Le Liberia a déclaré l'état d'urgence mais a indiqué la semaine dernière qu'il n'avait pas reçu suffisamment d'aide financière.
"Trois chercheurs, dont un représentant du ministère de l'Agriculture, ont quitté Abidjan aujourd'hui (mardi) pour le Liberia voisin où ils devront séjourner une semaine", a indiqué à l'AFP M. Tiémoko.
De retour du Liberia, les experts se rendront aussitôt à Man, principale ville de l'ouest ivoirien frontalier du Liberia, a-t-il souligné, faisant part de l'"inquiétude" des autorités de Côte d'Ivoire devant la présence au Liberia et en Guinée de ces chenilles légionnaires destructrices de cultures.
L'ouest ivoirien est une grande région agricole, productrice en particulier de cacao, principale ressource du pays.
La FAO, l'organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture, qui s'est alarmée de cette "crise alimentaire et environnementale", a annoncé que le Liberia pourrait faire face à une nouvelle vague de chenilles.
Le Liberia a déclaré l'état d'urgence mais a indiqué la semaine dernière qu'il n'avait pas reçu suffisamment d'aide financière.