Une page se ferme. La 17è Conférence Episcopale Régionale de l’Afrique de l’Ouest (CERAO), a ouvert ses portes hier, à Cocody Angré. Ces retrouvailles constituent la dernière du genre pour les évêques ouest-africains s’exprimant dans la langue de Molière. En effet, le 10 août prochain, naîtra à Yamoussoukro l’Association de la Conférence Episcopale de l’Afrique de l’Ouest (ACEAO), fusion de la CERAO et de ses homologues anglophones et lusophones. Aussi, cette dernière conférence qui durera huit jours, fera le bilan des 45 ans d’existence de la CERAO. De Bernard Cardinal Agré archevêque émérite d’Abidjan au ministre de l’intérieur Désiré Tagro, en passant par le cardinal Adrian Sarr, archevêque de Dakar et président de la CERAO et le Nonce Apostolique Ambroise Macda, tous ont salué la naissance de l’ACEAO. Pour le Cardinal Agré « le mariage entre les évêques francophones, anglophones et lusophones de l’Afrique de l’ouest doit être pour le meilleur et pour le pire ». Quant au ministre Désiré Tagro, il a souhaité que l’exemple des religieux inspire les hommes politiques pour l’avènement d’une seule communauté africaine. « L’église, famille de Dieu en solidarité pastorale organique dans l’Afrique de l’ouest », est le thème de la conférence. La nouvelle association, a indiqué son futur président, Cardinal Peter Turkson de Cape Coast au Ghana, remplira les mêmes missions pastorales et évangéliques. Mais en mieux car avec l’ACEAO, les enseignements seront harmonisés dans les pays. Et ce sont les populations qui en bénéficieront. C’est en juin 1963 qu’est né au séminaire d’Anyama, la CERAO. Le 7 décembre 2007 à Abuja au Nigeria les évêques francophones, anglophones et lusophones ouest-africains décident de travailler ensemble dans une seule association. De cette volonté, naîtra donc bientôt l’ACEAO. Une page se ferme. La 17è Conférence Episcopale Régionale de l’Afrique de l’Ouest (CERAO), a ouvert ses portes hier, à Cocody Angré. Ces retrouvailles constituent la dernière du genre pour les évêques ouest-africains s’exprimant dans la langue de Molière. En effet, le 10 août prochain, naîtra à Yamoussoukro l’Association de la Conférence Episcopale de l’Afrique de l’Ouest (ACEAO), fusion de la CERAO et de ses homologues anglophones et lusophones. Aussi, cette dernière conférence qui durera huit jours, fera le bilan des 45 ans d’existence de la CERAO. De Bernard Cardinal Agré archevêque émérite d’Abidjan au ministre de l’intérieur Désiré Tagro, en passant par le cardinal Adrian Sarr, archevêque de Dakar et président de la CERAO et le Nonce Apostolique Ambroise Macda, tous ont salué la naissance de l’ACEAO. Pour le Cardinal Agré « le mariage entre les évêques francophones, anglophones et lusophones de l’Afrique de l’ouest doit être pour le meilleur et pour le pire ». Quant au ministre Désiré Tagro, il a souhaité que l’exemple des religieux inspire les hommes politiques pour l’avènement d’une seule communauté africaine. « L’église, famille de Dieu en solidarité pastorale organique dans l’Afrique de l’ouest », est le thème de la conférence. La nouvelle association, a indiqué son futur président, Cardinal Peter Turkson de Cape Coast au Ghana, remplira les mêmes missions pastorales et évangéliques. Mais en mieux car avec l’ACEAO, les enseignements seront harmonisés dans les pays. Et ce sont les populations qui en bénéficieront. C’est en juin 1963 qu’est né au séminaire d’Anyama, la CERAO. Le 7 décembre 2007 à Abuja au Nigeria les évêques francophones, anglophones et lusophones ouest-africains décident de travailler ensemble dans une seule association. De cette volonté, naîtra donc bientôt l’ACEAO.
Dao Maïmouna
Dao Maïmouna