La question du mode d’exercice du pouvoir par le pape Benoît XVI est pour la première fois ouvertement posée au Vatican après les remous provoqués dans le monde entier par la levée de l’excommunication de l’évêque intégriste négationniste Richard Williamson.
L’émotion particulièrement vive en Allemagne, pays natal du pape, où les plaies du passé nazi sont encore vives, a conduit mardi la chancelière Angela Merkel à sortir de sa traditionnelle réserve sur les questions religieuses pour demander à Benoît XVI une “ferme clarification” sur le caractère insupportable de la négation des chambres à gaz.
C’est la première fois depuis le début du pontificat de Benoît XVI en 2005 que le chef de gouvernement d’un pays européen met ouvertement en cause une initiative du chef de l’Eglise catholique. Le Vatican a donc été contraint mercredi à une nouvelle mise au point pour tenter d’atténuer les effets désastreux de cette mesure, alors que les médias italiens relayaient les critiques inédites de deux cardinaux contre la Curie, le gouvernement de l’Eglise catholique.
AFP
L’émotion particulièrement vive en Allemagne, pays natal du pape, où les plaies du passé nazi sont encore vives, a conduit mardi la chancelière Angela Merkel à sortir de sa traditionnelle réserve sur les questions religieuses pour demander à Benoît XVI une “ferme clarification” sur le caractère insupportable de la négation des chambres à gaz.
C’est la première fois depuis le début du pontificat de Benoît XVI en 2005 que le chef de gouvernement d’un pays européen met ouvertement en cause une initiative du chef de l’Eglise catholique. Le Vatican a donc été contraint mercredi à une nouvelle mise au point pour tenter d’atténuer les effets désastreux de cette mesure, alors que les médias italiens relayaient les critiques inédites de deux cardinaux contre la Curie, le gouvernement de l’Eglise catholique.
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