A trois semaines du début du CHAN, vous disputez votre premier véritable match test. Que peut-on retenir de cette rencontre?
C’est une occasion pour nous de faire une revue d’effectif sur le plan physique. On a vu tout le groupe à l’œuvre. Ils (les joueurs, ndlr) ont pu tenir pendant 90 mn. Ce qui est déjà bon pour nous. Je pense que c’est de cette manière que nous allons nous améliorer progressivement.
Vous avez rencontré pas mal de difficultés à réunir votre groupe. Avez-vous une idée de l’équipe qui sera retenue pour le CHAN ?
Je n’ai jamais douté. Je crois en l’affaire et nous nous battons pour y arriver. Nous demandons à Dieu de nous aider afin qu’au soir du 8 mars prochain tous les Ivoiriens jubilent partout en Côte d’Ivoire en se disant que nous avons remporté la 1ère édition du CHAN. Le groupe se forme au fur et à mesure et elle sera définitivement constituée très bientôt.
L’absence des joueurs de l’Asec aux différents regroupements a fait couler beaucoup d’encre. Pensez-vous que leur intégration sera facile puisqu’ils rejoignent le groupe le 8 février prochain ?
Ce sont des joueurs qui savent jouer au football, des joueurs dont nous avons besoin. Je pense que ceux que nous prendrons pourront nous aider à atteindre nos objectifs. Les joueurs de l’Asec seront les bienvenus à partir du 8 février prochain.
D’autres joueurs sont-ils attendus ? Notamment ceux qui ont pris part à la CAN juniors au Rwanda…
Je peux vous dire d’entrée que des joueurs comme Kouakou Mansou, Kouassi Koffi ‘’N’Dieffi’’ et bien d’autres seront avec nous. Ce n’est pas parce qu’ils n’ont pas réussi leur CAN qu’ils sont de mauvais joueurs. Certainement qu’ils étaient dans un environnement qui n’a pas été reluisant pour eux. On peut toujours leur faire confiance. Ne pensez pas que nous allons jeter les juniors. Ce sont nos enfants et nous allons les aider à devenir de bons joueurs pour l’équipe nationale A.
A quoi doit-on s’attendre pour la suite de la préparation ?
Dans la phase de notre préparation, il y a deux autres matchs que nous prévoyons au Mali du 5 au 8 février prochain. Le premier sera contre l’équipe nationale locale A et le second contre une formation de l’élite. Mon souhait est de pouvoir effectuer ce déplacement malien. Je demande au ministère du Sport et à la fédération de nous favoriser ce voyage malien qui constitue un pan important de notre préparation.
Réalisée par Ouattara Gaoussou
C’est une occasion pour nous de faire une revue d’effectif sur le plan physique. On a vu tout le groupe à l’œuvre. Ils (les joueurs, ndlr) ont pu tenir pendant 90 mn. Ce qui est déjà bon pour nous. Je pense que c’est de cette manière que nous allons nous améliorer progressivement.
Vous avez rencontré pas mal de difficultés à réunir votre groupe. Avez-vous une idée de l’équipe qui sera retenue pour le CHAN ?
Je n’ai jamais douté. Je crois en l’affaire et nous nous battons pour y arriver. Nous demandons à Dieu de nous aider afin qu’au soir du 8 mars prochain tous les Ivoiriens jubilent partout en Côte d’Ivoire en se disant que nous avons remporté la 1ère édition du CHAN. Le groupe se forme au fur et à mesure et elle sera définitivement constituée très bientôt.
L’absence des joueurs de l’Asec aux différents regroupements a fait couler beaucoup d’encre. Pensez-vous que leur intégration sera facile puisqu’ils rejoignent le groupe le 8 février prochain ?
Ce sont des joueurs qui savent jouer au football, des joueurs dont nous avons besoin. Je pense que ceux que nous prendrons pourront nous aider à atteindre nos objectifs. Les joueurs de l’Asec seront les bienvenus à partir du 8 février prochain.
D’autres joueurs sont-ils attendus ? Notamment ceux qui ont pris part à la CAN juniors au Rwanda…
Je peux vous dire d’entrée que des joueurs comme Kouakou Mansou, Kouassi Koffi ‘’N’Dieffi’’ et bien d’autres seront avec nous. Ce n’est pas parce qu’ils n’ont pas réussi leur CAN qu’ils sont de mauvais joueurs. Certainement qu’ils étaient dans un environnement qui n’a pas été reluisant pour eux. On peut toujours leur faire confiance. Ne pensez pas que nous allons jeter les juniors. Ce sont nos enfants et nous allons les aider à devenir de bons joueurs pour l’équipe nationale A.
A quoi doit-on s’attendre pour la suite de la préparation ?
Dans la phase de notre préparation, il y a deux autres matchs que nous prévoyons au Mali du 5 au 8 février prochain. Le premier sera contre l’équipe nationale locale A et le second contre une formation de l’élite. Mon souhait est de pouvoir effectuer ce déplacement malien. Je demande au ministère du Sport et à la fédération de nous favoriser ce voyage malien qui constitue un pan important de notre préparation.
Réalisée par Ouattara Gaoussou