Le bonheur, on ne l’apprécie que lorsque l’on l’a perdu. Aucun Ivoirien en lisant cette phrase pour se faire une idée de celui qui l’a formulée. Feu Félix Houphouët Boigny, le premier président de la Côte d’Ivoire avait vite compris que ce bonheur qu’il offrait aux Ivoiriens. Ses frères, serait l’objet de spéculations de politiciens n’ayant rien compris jamais compris quoique ce soit à la gestion d’un Etat. Rappelé à Dieu, son décès a donné lieu à ce que je pourrai appeler un ‘’marathon olympique’’ digne de la Côte d’Ivoire. Sur le podium, à la première marche Bedié. Au médaille d’or devenu président de la République, donc successeur suivra Ado qui ne voudra pas bien de sa médaille d’argent. Qu’à cela ne tienne. Il n’ y avait pas de médaillé d’argent. Où le trouver ? Dans un coup « unique et sordide ». En fait le bénéficiaire de la médaille n’était pas dans une tenue sportive. Il était plutôt un homme en treillis doté de talents de balayeur. Où est-il ? Mort ! En tenue de Sports et en souliers. En corner le quatrième de la compétition attendait. Deux ans de gloire. Voilà que ses propres, supporters passent à un « cambriolage ». Tous ont connu des déboires. Tous veulent notre bonheur. Et si Houphouët revenait pour notre vrai bonheur le vrai. Ils rentreraient, ces « faiseurs » de bonheur, dans leur trou.
TBT
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